L'immigration illégale des enfants, le tollé provoqué par le décès de trois citoyens dans des postes de police et une commission d'Al-Azhar pour « faire face au chiisme ». C’est la sélection de la semaine.
Derrière les querelles entre chiisme et sunnisme se cache, depuis des décennies, un conflit politique entre deux modèles et deux puissances régionales : L’Arabie saoudite et L’Iran.
Les alliances politiques pour les législatives, des imams avec des pouvoirs judiciaires, le sunnisme et le chiisme unis face à l’athéisme. Voici la sélection de la semaine.
Depuis des décennies, les Etats-Unis arment et financent la nébuleuse islamiste dans la région et se servent du wahabisme saoudien pour contrer l’influence du chiisme iranien.
Après s'être converti au chiisme dans ses années universitaires, Mohamed Ghoneim a été l'objet de nombreuses persécutions, notamment de la part des autorités. Celles-ci refusent toujours de reconnaître son mouvement destiné à mettre fin aux discriminations dont souffrent les chiites égyptiens.
Les timides signes de normalisation avec la République islamique font face à une peur irrationnelle de voir le chiisme se répandre en Egypte. Au-delà des facteurs internes, les relations avec Washington et les pays du Golfe entravent tout rapprochement réel avec la puissance chiite. Explications.
Le secrétaire général adjoint du parti Al-Nour, Chaabane Abdel-Alim, refuse le rapprochement égypto-iranien. Selon lui, Téhéran veut propager le chiisme en Egypte.
Malgré des tentatives de rapprochement, Al-Azhar a mis en place une série de mesures visant à lutter fermement contre le chiisme. En 50 ans, la position de l’institution religieuse du Caire a fortement changé et le ton ne cesse de monter face à l’autre grand courant de l’islam
Morsi, les Frères musulmans et les salafistes sont taxés d’apostats par les djihadistes. Les salafistes accusent les Frères de favoriser le chiisme. Et Bassem Youssef est accusé d’atteinte à la religion. Cherchez l’intrus.