Outre l’Egypte, la Guinée-Bissau et la Centrafrique sont aussi suspendues de l’Union africaine pour avoir recouru à des « changements anticonstitutionnels de gouvernement ». D’autres ont retrouvé leur place au sein de l’organisation panafricaine.
Lors du 22e sommet de l’Union africaine, les chefs d’Etat et de gouvernement réunis à Addis-Abeba ont entériné la suspension de l’Egypte, en raison du « changement anticonstitutionnel » lié à l’éviction de Morsi. Une note négative que Le Caire tente de minimiser, notamment en multipliant les relations bilatérales.