Le Centre d’Activités Francophones (CAF) de la Bibliotheca Alexandrina a organisé, du 2 au 6 février, un programme de formation destiné aux étudiants francophones des universités égyptiennes (FEFUE).
Mohamad Salah et Tareq Hamed sont les deux Egyptiens en lice pour, respectivement, le prix de meilleur joueur africain 2019 et celui de meilleur joueur des compétitions interclubs 2019, décernés par la CAF. Remporteront-ils le trophée? Rien n'est moins sûr, vu les excellentes performances de leurs rivaux.
Une Bourse des marchandises est un marché où sont échangés, le plus souvent, les produits agricoles de base (café, coton, blé, etc.) et les matières premières dites « dures » (pétrole, or, cuivre, etc.). Ce type de Bourses est courant dans le monde.
A Alexandrie, un café spécial a ouvert ses portes, il y a quelques mois. Il emploie des personnes avec un handicap mental ou cognitif, qui travaillent côte à côte avec leurs collègues non handicapés. Un bel exemple d’intégration, qui compte en inspirer bien d’autres.
Pyramids FC a assuré sa place au second tour des 16es de finale de la Coupe de la CAF suite à sa victoire à l’extérieur 1-0 contre les Algériens de Belouizdad. Une belle prouesse pour une première participation à une compétition continentale.
L’équipe sénégalaise Génération Foot, pourtant déjà au Caire, ne s’est pas présentée au match l’opposant à Zamalek, dimanche à Alexandrie, en raison d’un différend sur le lieu de cette rencontre qualificative pour les 8es de finale de la Ligue des champions d’Afrique. C’est donc la CAF qui tranchera sur le sort des deux équipes.
Au coeur du Caire se trouve une petite ruelle où se rassemble la communauté soudanaise. Restaurants, cafés, commerces, coiffeurs... Tous les services leur sont destinés en particulier pour qu'ils se sentent comme chez eux. Reportage.
Dans un centre de Maadi, des réfugiées soudanaises se retrouvent chaque semaine pour les « Coffee mornings ». Un moment d’échange et de détente, qui leur permet de faire revivre les souvenirs et d’oublier les tracas du quotidien. Reportage.
Jusqu'au 21 avril encore, le Festival D-caf des arts contemporains anime le centre-ville cairote, proposant au public une palette de spectacles hétéroclites. Retour sur trois d'entre eux.
Les cafés populaires du centre-ville cairote et ses habitués sont la source d’inspiration de l’artiste-peintre Omar Al-Fayoumi. Il célèbre 40 ans de carrière artistique, à la salle Margo Veillon du Centre culturel de Tahrir (TCC), Université américaine du Caire.
Grand amateur de musique « expérimentale », le musicien, producteur et compositeur Mahmoud Refaat a toujours aimé s’éloigner des sentiers battus. Initiateur du label musical 100 Copies et programmateur du volet musical du festival D-CAF des arts contemporains, il aide les jeunes artistes à faire entendre leur voix à l’écart du mainstream.
La 8e édition du D-CAF (festival du centre-ville sur les arts contemporains) se déroule du 29 mars au 21 avril. En investissant différents recoins du Caire, ce festival d’art réussit à changer un temps l’esprit de la ville.
Ouvert en 1869, le café Matatiya a joué un rôle important dans la vie politique, culturelle et sociale des Egyptiens.Les idées menant à la Révolution de 1919 sont nées dans ce lieu historique de Ataba, aujourd’hui disparu.
Le ministère du Tourisme prépare une campagne de promotion à l'occasion de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN), qui se tiendra en Egypte en juin et juillet 2019. Objectif: profiter de l'événement pour attirer l'attention sur les atouts touristiques du pays.
Après son nul à domicile contre les Angolais de Petro Atletico, en Coupe de la CAF, Zamalek n’a plus d’autre choix que de remporter ses trois prochaines rencontres, pour se qualifier pour les quarts de finale.
Metteur en scène, dramaturge, producteur, gestionnaire, Ahmed Al-Attar a plusieurs casquettes. Le fondateur du Festival d'art contemporain D-Caf a le théâtre dans le sang et aime transmettre sa passion.
Dans le documentaire Al-Maqha Wa Zamano (le café et ses époques), achevé avant la révolution du 25 janvier 2011, Samih Mansy présente des cafés égyptiens célèbres en les inscrivant dans le contexte sociopolitique, culturel et historique du pays.
Les uns ont besoin du café pour se réveiller ou se concentrer, les autres aiment en boire une bonne tasse avec des amis. Son arôme et son effet stimulant expliquent sa consommation élevée. En Egypte aussi, le café compte de nombreux adeptes.