Tenues sous les auspices des Etats-Unis et de la Banque mondiale, les négociations tripartites (Egypte, Ethiopie, Soudan) sur le barrage de la Renaissance avancent. Les observateurs sont optimistes.
3 questions à Abbas Cheraki, expert hydrique au Centre des recherches africaines de l’Université du Caire.
Le Centre égyptien des études stratégiques (ECSS) a publié en arabe et en anglais un livret intitulé Le Barrage de la Renaissance, menaces, mises en garde et solutions possibles, destiné à clarifier la situation auprès de l’opinion publique internationale.
Amani El-Taweel, cheffe du département des études africaines au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur la médiation américaine dans la crise du barrage de la Renaissance.
Réunis à Washington le 6 novembre 2019, l’Egypte, l’Ethiopie et le Soudan se sont engagés, sous le parrainage américain et en présence de la Banque mondiale, à régler, d’ici deux mois, les différends sur le barrage de la Renaissance.
L’Egypte et l’Ethiopie ont convenu de reprendre les négociations techniques sur le barrage de la Renaissance.
Le gouvernement a présenté cette semaine devant le parlement le bilan des négociations avec l’Ethiopie et le Soudan sur le barrage de la Renaissance.
Le projet de construction du grand barrage de la Renaissance a donné lieu à des différends entre l’Ethiopie, l’Egypte et le Soudan. Retour sur les dates-clés.
Confrontée au barrage de la Renaissance, à la croissance démographique et à une consommation accrue de l’eau, l’Egypte a adopté un plan ambitieux pour prévenir une éventuelle pénurie.
Amani Al-Taweel, cheffe du département des études africaines au Centre des Etudes Politiques et Stratégiques (CEPS) d’Al-Ahram, revient sur les négociations de Khartoum relatives aux modalités de remplissage du barrage de la Renaissance. Entretien.
Face à l’échec des négociations sur le barrage de la Renaissance, l’Egypte a exprimé sa détermination à défendre ses droits dans les eaux du Nil. Le Caire s’oriente désormais vers une internationalisation du contentieux.
Les négociations des 15 et 16 septembre au Caire entre les ministres de l’Irrigation d’Egypte, d’Ethiopie et du Soudan n’ont donné lieu à aucun consensus sur le barrage de la Renaissance. Une nouvelle réunion est prévue fin septembre à Khartoum.
Dr Sayed Fleifel, président de la commission des affaires africaines au parlement, explique la nouvelle orientation de l’Ethiopie sous le mandat d’Abiy Ahmed et son impact sur les négociations du barrage de la Renaissance.
Les récentes déclarations du premier ministre éthiopien, Abiy Ahmed, selon lesquelles la construction du barrage souffre de problèmes techniques et financiers, ont provoqué beaucoup de remous. Ce report temporaire ouvre pourtant la voie vers plus de flexibilité dans les négociations.
L’Egypte, le Soudan et l’Ethiopie ont conclu un nouvel accord relatif au barrage de la Renaissance. Il devra être suivi de progrès concrets pour garantir les droits hydriques de l’Egypte.