Le chef de l’opposition syrienne se dit prêt à dialoguer avec certains membres du régime de Bachar Al-Assad. Al-Khatib a par ailleurs rencontré des représentants de l’Iran et de la Russie, soulevant des espoirs sur de possibles avancées vers la paix.
Réuni à Paris, le Conseil national syrien cherche à mobiliser ses soutiens pour faire tomber Bachar Al-Assad. Mais hormis la France, ceux-ci restent prudents sur la nature des aides à fournir.
Le président Bachar Al-Assad a proposé un plan en trois étapes pour mettre fin au conflit qui secoue le pays. Mais l’opposition dénonce une tentative d’Assad pour « se maintenir au pouvoir » et réclame son départ comme condition préalable à tout règlement.
Alors que ses voisins craignent un débordement du conflit, la Turquie a demandé l’aide de l’Otan. Une requête qui sera étudiée par ses membres, mais rejetée par les alliés de Damas.
Malgré les efforts du médiateur international pour la conclusion d’un cessez-le-feu à l’occasion de la fête musulmane de l’Aïd Al-Adha en fin de semaine, la probabilité qu’elle se réalise est jugée mince.
Alors que l’Union Européenne (UE) a imposé une nouvelle série de sanctions au régime de Bachar Al-Assad, le médiateur onusien, Lakhdar Brahimi, se livre à une course contre la montre pour parvenir à un cessez-le-feu avant fin octobre
La Turquie a haussé le ton contre le régime de Bachar Al-Assad tout en excluant la possibilité d’une guerre. L’opposition tente de s’organiser et de s’unifier et continue de résister sur le terrain.