Pendant le Ramadan, les grandes associations caritatives multiplient les appels aux dons. Si elles continuent à récolter d'importantes sommes, de plus en plus de personnes préfèrent aujourd'hui prendre elles-mêmes en main la distribution de leurs dons. Explications.
Hôpitaux publics, associations caritatives ou orphelinats peinent à s'en sortir suite à la baisse des dons. Même la baraka du mois du Ramadan n'a pas changé la donne. Eléments de réponse.
Loin des vecteurs traditionnels, les oeuvres de charité menées par des particuliers ou des associations caritatives prennent de nouvelles formes qui s'inscrivent davantage dans la durée et qui répondent aux réels besoins. Focus.