En déplacement cette semaine en Arabie saoudite, le président Abdel-Fattah Al-Sissi a rencontré le roi Salman bin Abdel-Aziz. Au centre des discussions : l'alliance stratégique avec Riyad et la création d'une force arabe commune.
Particulièrement inquiète des événements au Yémen, l'Arabie saoudite craint de plus en plus une extension de l'hégémonie iranienne dans la région.
Des dirigeants du monde se succèdent à Riyad pour présenter leurs condoléances au nouveau roi Salmane, après la mort de son prédécesseur Abdallah. Tous les regards se tournent désormais vers le nouveau souverain.
Le président Abdel-Fattah Al-Sissi s’est rendu, samedi, en Arabie saoudite, depuis Davos en Suisse, pour présenter ses condoléances au roi Salman, après la mort du roi Abdallah Ben Abdel-Aziz, décédé vendredi à l’aube.
Le terrorisme et la violence au nom de l’islam font couler beaucoup d’encre. La réforme religieuse est d’actualité. Certains pointent du doigt l’Arabie saoudite, d’autres les institutions religieuses.
Face aux menaces de Daech tout au long des frontières nord du Royaume avec l'Iraq, ou à celles des Houthis qui sévissent à ses bords sud avec le Yémen, l'Arabie saoudite fait face à des défis sécuritaires majeurs.
Les pays producteurs de pétrole survivront mal à la baisse des prix du pétrole, mais chacun de façon différente. Si l’Arabie saoudite ne réduira pas ses dépenses publiques, l’Algérie aura recours à l’austérité.
De l'Algérie au Soudan, en passant par l'Arabie saoudite et la Russie, les déplacements à l'étranger du président Al-Sissi lors de ses premiers 100 jours au pouvoir, dessinent difficilement les traits d'une nouvelle politique étrangère.
Le président Abdel-Fattah Al-Sissi était cette semaine en Arabie saoudite et en Russie. Investissements et sécurité ont dominé les discussions.
L’Arabie saoudite a pris des mesures sévères pour parer à toute menace islamiste.