Si Akhmim tire son nom du dieu de la fécondité, ses habitantes ont été touchées par celui de la créativité. Leurs sacs en cuir, confectionnés à la main et brodés, font aujourd’hui la réputation du village, situé à 500 km au sud du Caire. L’une d’elles vient même de recevoir un prix international de création. Reportage.

C’est l’histoire d’une femme ordinaire que l’on ne remarque pas dans la rue. Pourtant, Férial Ahmad est l’une des plus grandes artistes brodeuses du Centre communautaire d’Akhmim, un petit paradis de la Haute-Egypte dont l’objectif est de faire revivre l’héritage millénaire du tissage et de la broderie.

La statue colossale du roi Ramsès II de 12 m de haut trône désormais dans son temple à Akhmim. Elle a été redressée à l’occasion de la venue du ministre des Antiquités, Khaled El-Enany, en tournée à Sohag.

Auteure, photographe et journaliste à Al-Ahram Hebdo, Loula Lahham revient sur les idées qui ont inspiré son livre et exprime son admiration pour l’art des filles et des femmes d’Akhmim.

Dans son livre Hakawy Fatayat wa Sayedat Akhmim (les contes des filles et des femmes d’Akhmim), récemment publié, Loula Lahham rend hommage aux artistes de la cité pharaonique, connues pour leurs tableaux brodés. Présentation.