Alors que les discussions de Vienne sur le nucléaire iranien se poursuivent entre Téhéran et les grandes puissances, Israël semble s’engager dans une politique de « sabotage » anti-iranienne, affichant ouvertement son hostilité à un retour des Etats-Unis au JCPOA.
Sanctions américaines contre la Russie, expulsion de diplomates américains par Moscou : les Etats-Unis et la Russie se sont engagés dans un nouveau bras de fer. Washington et Moscou se disent cependant ouverts à un sommet Biden-Poutine.
En pleines négociations avec l'Europe et les Etats-Unis à Vienne, l'Iran a annoncé cette semaine enrichir son uranium à 60 %. Une forme de pression supplémentaire.
Un navire iranien a été attaqué la semaine dernière en mer Rouge. Israël est pointé du doigt. Une responsabilité certes non confirmée, mais qui intervient alors que Tel-Aviv affiche clairement son opposition au processus de Vienne.
Les discussions sur le nucléaire iranien reprennent ce mercredi à Vienne. La première semaine a été marquée par des positions fermes de part et d’autre, notamment au sujet de la levée des sanctions.
L’Egypte, l’Arabie saoudite et les pays du Golfe ont apporté leur soutien à la Jordanie, suite à la tentative de déstabilisation qu’elle a subie.
Des discussions se sont ouvertes, mardi à Vienne, entre l’Iran et des grandes puissances. Objectif : parvenir à une formule comprenant à la fois le retour des Etats-Unis à l’accord et celui de l’Iran à ses engagements.
Le sixième anniversaire du début de la guerre au Yémen entre les Houthis et la coalition intervient sur fond d’escalade militaire sur le terrain, mais aussi d’efforts diplomatiques pour relancer les négociations de paix.
Dix ans après le début du conflit, la situation en Syrie reste « un cauchemar vivant », pour reprendre les termes d’Antonio Guterres. Une décennie de chaos et un constat de « ni guerre, ni paix ». Analyse.
Vingt ans après l’invasion de l’Afghanistan, Washington propose une nouvelle formule pour la relance du processus de paix dans ce pays. Il doit aussi prendre une décision sur un retrait des dernières troupes américaines et alliées qui y sont déployées.
Les tergiversations se poursuivent dans l’attente d’une éventuelle reprise des négociations avec l’Iran sur le nucléaire. Chaque partie tente d’entamer ces discussions en position de force.
L’Iran et l’AIEA ont annoncé cette semaine avoir trouvé un compromis pour maintenir une surveillance des activités nucléaires malgré les limites imposées par Téhéran. Cette dernière table sur un retour des négociations avec Washington.
Les rebelles houthis ont intensifié leurs attaques pour s’emparer de Marib, dernier bastion du pouvoir dans le nord du Yémen, tout en reprenant leurs attaques contre l’Arabie saoudite. Une intensification des combats qui intervient malgré une nouvelle impulsion politique de Joe Biden.
Téhéran et Washington campent sur leurs positions, chacun posant ses conditions avant la reprise du dialogue. Un dialogue qui devrait inclure la question du nucléaire, mais aussi celles des missiles balistiques et du rôle régional de l’Iran.
La Tunisie se débat dans une crise politique doublée de difficultés économiques et d’un malaise social. Malgré le scepticisme du président, le nouveau gouvernement présenté par Hichem Mechichi a été approuvé par le parlement.
C’est une administration qui « ressemble à l’Amérique » dans sa diversité, comme l’avait promis Biden au cours de sa campagne, qui s’apprête à prendre les rênes du pouvoir. En voici les principaux noms.
Climat, santé, immigration … Le nouveau président américain, Joe Biden, a, dès son entréeà la Maison Blanche, pris des décisions pour se défaire de certaines des politiques-clés de son prédécesseur, Donald Trump.
Dix ans après les révoltes populaires de 2011, la région arabe vit toujours les conséquences de ces événements : des changements de régime, une carte géopolitique redessinée et un nouvel équilibre des forces. Enquête.