Binali Yildirim, fidèle allié du président turc Recep Tayyip Erdogan, a été élu dimanche à la tête de l'AKP et consacré nouveau premier ministre, renforçant la mainmise d'Erdogan sur le pays.
Le départ prochain du premier ministre turc et chef du parti au pouvoir (AKP), Ahmet Davutoglu, pourrait ouvrir la voie à Erdogan pour présidentialiser le régime et devenir l'unique homme fort du pays.
C’est le 23 août que sera confirmée l’option d’élections législatives anticipées en Turquie, après l’échec des tentatives de former un gouvernement de coalition. Des élections où l’AKP vise la majorité absolue.
Erdogan a 45 jours pour former un gouvernement de coalition ou convoquer des élections anticipées. La défaite de son parti aux législatives annonce peut-être la fin du règne sans partage de l’AKP.
A l'approche des législatives turques du 7 juin, le parti islamo-conservateur au pouvoir (AKP) a entamé sa campagne électorale dont l'unique enjeu serait la présidentialisation du régime comme l'espère le président Recep Tayyip Erdogan.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan doit nommer, ce 27 août, son successeur à la têtede son parti islamo-conservateur (AKP) qui ne sera autre que son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu.
Malgré des mois de crises et de scandales, l’AKP, le parti d’Erdogan, est sorti victorieux aux municipales. Une victoire qui ouvre la voie à Erdogan de briguer la présidentielle d’août prochain.
Le chef du gouvernement turc, Recep Tayyip Erdogan, a utilisé la force pour évacuer les manifestants de la place Taksim qui contestaient son pouvoir depuis trois semaines.
Avec une croissance de 2,2 % en 2012, l'économie turque occupe la 16e place mondiale. Mais les méthodes du régime pour parvenir à un tel développement sont loin de faire l’unanimité.
Trois succès électoraux ont fait du Parti de la justice et du développement (AKP) la principale force politique de Turquie. Pouvoir qu'Erdogan tente de conserver à tout prix.
Emprisonnement de journalistes et d’étudiants d’extrême gauche, surveillance d’Internet, détenus sans jugement … L’AKP tient la contestation d’une main de fer. La Turquie fait partie des pays les plus répressifs en la matière.
Au pouvoir depuis 2002, le parti islamo-conservateur du premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, (AKP) fait face à la plus grave contestation populaire, qui risque de menacer son avenir politique.
L'AKP en Turquie et le FNI au sont deux exemples de partis islamistes au pouvoir. Si le premier réussit remarquablement, le second connaît un échec flagrant.