Ayman Al-Raqab, membre du Fatah et professeur des sciences politiques à l’Université de Jérusalem, évalue les chances de relance du processus de paix avec l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche. Entretien.
L'arrivée du démocrate Joe Biden à la Maison Blanche relance les espoirs des Frères musulmans de regagner le terrain qu’ils ont perdu depuis la Révolution du 30 Juin. Mais il s'agit de mauvais calculs. Explications.
La colère qui a explosé à Minneapolis, dans le Minnesota, après le décès la semaine dernière de George Floyd, un homme noir de 46 ans aux mains d’un policier blanc, s’est rapidement propagée dans tout le pays, de Miami jusqu’aux abords de la Maison Blanche à Washington.
Les Etats-Unis ne disposent pas d'ambassadeurs dans cinq pays sur les neuf inclus dans la tournée de Mike Pompeo. Un fait qui se répercute sur leur politique moyenne-orientale.
Washington a dépêché cette semaine deux hauts responsables dans la région : le conseiller pour la sécurité nationale de la Maison Blanche, John Bolton, et le chef de la diplomatie, Mike Pompeo. Objectif : rassurer ses alliés et préparer le retrait américain de Syrie.
Le président Abdel-Fattah Al-Sissi a rencontré, lundi dernier, son homologue américain, Donald Trump. Le roi de Jordanie, puis le président palestinien, seront à leur tour reçus à la Maison Blanche. L'occasion de tenter de réactiver le processus de paix palestino-israélien.
A 70 ans, sans la moindre expérience politique, diplomatique ou militaire, l’homme d’affaires républicain, Donald Trump, a prêté serment à la Maison Blanche en tant que 45e président des Etats-Unis, succédant au démocrate Barack Obama.
La position du futur locataire de la Maison Blanche vis-à-vis de la question des colonies juives laisse prévoir un alignement sur la politique de Tel-Aviv.
Avec des déclarations tantôt floues, tantôt rocambolesques, la politique étrangère du président américain élu, Donald Trump, est imprévisible. Pour l'heure, les conséquences de son élection sur les crises du Moyen-Orient restent à définir. Etat des lieux.
Alors que l'électorat américain est toujours indécis, le candidat républicain, Donald Trump, dont les chances s'amenuisent, met en doute l'intégrité de l'élection présidentielle du 8 novembre.