Le Liban est une fois de plus entraîné malgré lui dans le conflit syrien. Cette fois avec des combats impliquant le front Al-Nosra sur son propre territoire.
Devenir un porte-drapeau du Liban à l'échelle internationale, Ibrahim Maalouf l'a fait. En trois décennies seulement, le jeune homme de 33 ans a réalisé la quasi-totalité de ses rêves d'enfance : devenir un artiste de renom, réussir ses études et enseigner la musicologie.
Depuis presque une semaine, le Liban est sans président. Cette vacance pourrait exacerber la crise politique déjà fortement attisée par le conflit en Syrie.
Les députés libanais doivent se retrouver une 4e fois ce mercredi pour tenter d’élire un successeur au président Michel Sleiman.
Le film controversé Halawet Roh (beauté de l’âme), interprété par la chanteuse libanaise Haïfaa Wahbi, vient d’être interdit de diffusion en Egypte, après l’intervention du premier ministre égyptien, suscitant une nouvelle levée de boucliers contre la censure.
Le Liban vacille entre une crise politique interne à répétition et les répercussions de la guerre en Syrie, qui se font de plus en plus menaçantes.
Le gouvernement libanais s’est finalement mis d’accord sur une feuille de route concernant l’épineuse question de la résistance nationale, liée au Hezbollah. Le texte réitère le devoir de l’Etat et des citoyens à « résister à l’occupation israélienne ».
Passionnée du beau, dans l’art comme dans la vie, Lara Kanso, professeur de lettres libanaise, présente, à l’occasion du mois de la femme, Les Noces de Zahwa. Une performance dédiée à son amie Zahwa, victime d’un crime d’honneur.
Exacerbé par le conflit en Syrie voisine qui divise profondément le pays, le premier ministre a annoncé les noms du nouveau cabinet. Une tâche difficile attend ce nouveau gouvernement.
Enfant, elle se posait mille et une questions sur les injustices de ce bas monde. Adolescente, Jenan Moussa rêvait de devenir reporter de guerre pour éclairer l’opinion publique internationale, de la manière la plus neutre qui puisse être. Aujourd’hui, la journaliste libanaise vit à coeur joie sa vocation.
Le procès de quatre membres du Hezbollah accusés de l’assassinat en 2005 de l’ancien premier ministre libanais Rafic Hariri s’est ouvert jeudi 16 janvier à La Haye, en leur absence, dans une procédure aux enjeux éclipsés par les violences qui secouent le pays du Cèdre.
Contaminé par la crise syrienne, le Liban a témoigné en moins d'une semaine de deux attentats, l’un visant un ancien ministre pro-opposition syrienne, l'autre un quartier du Hezbollah, lequel combat aux côtés de Bachar Al-Assad.