Les Etats-Unis ne disposent pas d'ambassadeurs dans cinq pays sur les neuf inclus dans la tournée de Mike Pompeo. Un fait qui se répercute sur leur politique moyenne-orientale.
Bagdad a connu cette semaine un véritable ballet diplomatique. On a notamment accueilli les chefs de la diplomatie des deux grands alliés de l’Iraq, l’Iran et les Etats-Unis, eux-mêmes grands ennemis.
Le Caire et Washington ont annoncé, à l’occasion de la visite de Mike Pompeo au Caire, des préparatifs pour un nouveau round du dialogue stratégique, cette fois plus élargi. Les questions régionales ont également été au menu des discussions.
Six mois après sa rencontre fructueuse avec le président américain, le leader nord-coréen, Kim Jong-un, a menacé les Etats-Unis de reprendre sa stratégie d'escalade s'ils n'allègent pas les sanctions américaines et internationales contre son pays.
Plus de 150 pays ont approuvé le Pacte de Marrakech tandis qu’une quinzaine, dominés par des gouvernements de droite anti-migrants comme les Etats-Unis et Israël, l’ont rejeté. Passage en revue.
Les Etats-Unis ont imposé des sanctions à la Corée du Nord pour « violations des droits de l’homme ». Objectif : accentuer la pression sur Pyongyang qui n’a fait aucune avancée en matière de dénucléarisation.
Au coeur d'un bras de fer entre Washington et Ankara, le pasteur américain Andrew Brunson, détenu en Turquie depuis juillet dernier, a été libéré cette semaine. Un pas qui devrait calmer les tensions entre les deux pays.
Le président Abdel Fattah al-Sissi et son épouse Entissar Al-Sissi ont reçu samedi 6 octobre, la première Dame des Etats-Unis, Melania Trump, arrivée en Egypte, dans le cadre de la quatrième et dernière étapes de sa tournée en Afrique.
Les relations entre la Turquie et les Etats-Unis sont au plus bas. Outre la crise du pasteur américain Andrew Brunson, les pommes de discorde sont nombreuses entre les deux alliés de l’Otan.
Les déclarations hostiles entre Washington et Téhéran se font de plus en plus virulentes. Des menaces et contre-menaces qui interviennent alors que le retour des sanctions américaines contre l’Iran doit se faire par étapes à compter du mois d’août.
L’Administration américaine a rétabli une aide militaire de 195 millions de dollars destinée à l’Egypte, et gelée depuis 2017. Une décision qui reflète l’importance du Caire dans la politique régionale des Etats-Unis.
Le Congrès a estimé, cette semaine, que les Frères musulmans représentent « un danger pour la sécurité des Etats-Unis ». Un fait qui pourrait ouvrir la voie à des mesures concrètes contre la confrérie.
Ahmed El Safty, professeur associé au département d’économie de l’Université américaine du Caire et directeur général du Centre de recherche Delta, revient sur les effets de la guerre commerciale et les possibilités d’un retrait des Etats-Unis de l’OMC.
Au cours de leur discrète tournée au Moyen-Orient, les deux émissaires américains du président Donald Trump, Jared Kushner et Jason Greenblatt, ont rencontré différents dirigeants régionaux pour trouver une issue au conflit israélo-palestinien. Mais aucune annonce importante n’a été faite.
Le président Abdel-Fattah Al-Sissi a reçu cette semaine les émissaires américains, Jared Kushner et Jason Greenblatt, en tournée dans la région pour présenter le nouveau plan de paix américain.