Dimanche, 19 janvier 2025
J’ai appris avec joie une nouvelle qui rend tout Egyptien fier de ses compatriotes qui accomplissent des réalisations scientifiques à l’étranger et reçoivent les plus hautes distinctions.

L’accession au pouvoir en Syrie du groupe islamiste Hayat Tahrir Al-Sham (HTS) représente un tournant décisif au Moyen-Orient.

Les rôles non arabes ont été négatifs dans la crise syrienne au cours des 14 dernières années.

Bien que l’Allemagne ait annoncé en septembre dernier l’interdiction d’exporter des armes à Israël, le gouvernement fédéral a approuvé cette semaine une vente d’armes à l’Etat d’Israël d’une valeur de 30 millions d’euros.

La libye serait-elle en passe de devenir la nouvelle plateforme de l’influence russe au Moyen-Orient à la place de la Syrie ?

Depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad, le véritable poids de la Syrie dans l’équilibre régional des forces au Moyen-Orient se révèle de plus en plus, jour après jour.

Ahmad Hussein Al-Chareh, leader de Hayat Tahrir Al-Sham, qui a pris le pouvoir en Syrie après la chute du régime de Bachar Al-Assad, a annoncé la composition de son nouveau gouvernement, qu’il qualifie de civil et non sectaire.

Moins d’une semaine après la fuite du président syrien déchu Bachar Al-Assad, l’ambassade de Turquie à Damas a rouvert ses portes pour la première fois en 12 ans.

Le peuple syrien a exprimé une joie débordante après la chute du régime de Bachar Al-Assad, dans toutes les régions de la Syrie, d’As-Suwayda, majoritairement druze, à Alep, Damas, Hama et Homs, à majorité sunnite avec une présence chrétienne notable.

Exactement comme après la chute du président iraqien Saddam Hussein, les mêmes micros ont commencé à crier les atrocités et la dictature du régime syrien pour faire croire aux esprits arabes naïfs que la chute de Bachar Al-Assad marque la fin de l’ère de répression en Syrie et le début d’une ère de liberté et de démocratie.

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