« La grande majorité des parties m'ont indiqué qu'elles considéraient le plan égyptien comme équilibré et qu'il constituait une percée qui pourrait conduire à un consensus », a déclaré Sameh Choukri, ministre égyptien des Affaires étrangères et président désigné de la COP27, lors d'une conférence de presse samedi 19 novembre. « Il n'y a jamais de solution parfaite, mais j'ai fait un effort pour fournir une base permettant d’aller de l'avant », a-t-il déclaré.
Selon Choukri, après avoir écouté et examiné différents points de vue, les textes ont été préparés sur trois questions de manière équilibrée. « Nous consulterons les groupes concernés et leur donnerons la possibilité d'examiner et de commenter les textes, ainsi que de proposer les modifications nécessaires », a déclaré Choukri aux journalistes, assurant que des consultations auront également lieu avec le secrétaire général des Nations-Unies.
Selon Choukri, la COP a été prolongée jusqu'à samedi parce que les différentes parties doivent s'entendre sur les pertes et les dommages, ainsi que sur l'adaptation et le programme de travail concernant l'atténuation des effets climatiques.
Les pourparlers sur le climat qui devaient initialement se terminer vendredi ont été prolongés jusqu'à samedi. Certaines questions-clés n’ont toujours pas été réglées, notamment celle des fonds pour les pertes et les dommages subis par les pays les plus pauvres touchés par des conditions météorologiques extrêmes.
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