— Reconnaître et apprécier les efforts et les comportements positifs de l’enfant.
— Passer du temps à discuter avec l’enfant, à jouer ou à faire des activités avec lui, en lui accordant une attention particulière. Cela renforce le lien émotionnel et la communication ouverte.
— Organiser des routines claires et prévisibles dans les moments-clés de la journée, comme les repas ou les devoirs. Les enfants se sentent sécurisés et savent à quoi s’attendre.
— Communiquer sans agresser : utiliser une communication respectueuse et bienveillante avec les enfants. Ecouter activement, exprimer ses émotions de manière constructive, éviter les jugements et chercher des solutions mutuellement satisfaisantes lors des conflits.
— Offrir aux enfants des choix appropriés pour les aider à développer leur autonomie et leur sens de responsabilité. Par exemple, leur permettre de décider de l’ordre des tâches à effectuer ou de choisir entre différentes options.
— Plutôt que d’imposer des punitions arbitraires, utiliser la méthode des « conséquences logiques » qui sont naturellement liées au comportement indésirable. Par exemple, si un enfant ne range pas ses jouets, il peut perdre le privilège de jouer avec ces jouets pendant un certain temps.
— Organiser régulièrement des réunions familiales où chacun peut s’exprimer et participer au règlement des problèmes de la famille. Il s’agit de favoriser le sentiment d’appartenance et de coopération au sein de la famille.
— Utiliser des cartes ou des outils visuels pour aider les enfants à réfléchir sur leurs comportements, leurs émotions et les conséquences de leurs actions. Cela encourage la prise de conscience et l’apprentissage.
— L’usage de ces outils doit dépendre de l’âge de chaque enfant et de son caractère. La discipline positive s’appuie sur une approche globale qui renforce les liens émotionnels, l’affection et la coopération plutôt que la réprimande ou les punitions.
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