L’agriculture : Dans un rapport intitulé « IA pour l’Afrique », l’Association internationale des réseaux mobiles (GSMA) identifie l’agriculture comme l’un des secteurs les plus appropriés pour l’usage de l’IA, représentant plus de 17 % du PIB du continent. D’après la GSMA, la majorité des applications de l’IA sur le terrain impliquent le recours à l’apprentissage automatique pour analyser les données actuelles et suggérer aux agriculteurs des méthodes plus productives et respectueuses de l’environnement.

L’adaptation aux changements climatiques : L’adaptation au changement climatique représente 26 % des déploiements des applications de l’IA en Afrique, permettant la surveillance de la biodiversité et la protection de la vie sauvage. L’apprentissage en ligne est de plus en plus utilisé pour anticiper les urgences liées aux répercussions naturelles du réchauffement climatique.

L’IA au service des start-up : Rien n’est aussi efficace que l’usage de l’IA pour faciliter la communication avec les communautés isolées et les personnes défavorisées. Ainsi, les applications de l’IA peuvent permettre à ces personnes d’utiliser des lignes d’assistance téléphonique dans leurs langues maternelles. Avec environ 2 000 langues maternelles parlées en Afrique, les modèles d’interaction vocale dans ces langues peuvent toucher de vastes populations auparavant exclues en raison des barrières linguistiques.