Six mois après le défilé de tous les buzz sur le Pont Neuf à Paris, au pied du siège social de la marque, le créateur américain a choisi comme terrain de jeu le Jardin d'acclimatation, au bois de Boulogne, pour un défilé probablement pas statique et inspiré par le grand ouest américain.
Tous les invités ont reçu en guise d'invitation un harmonica siglé "LV" et la marque a communiqué sur Instagram avec un visuel tout inspiré de l'esthétique Western.
C'est le chef Jean Imbert, allié papille des grandes maisons parisiennes, qui sera aux fourneaux, pour des mets servis dans une ambiance diner du grand ouest américain.
Le chanteur, célèbre pour ses tubes "Happy" et "Get Lucky" aux côtés de Daft Punk, dévoilera dans ce décor sa troisième collection homme pour Louis Vuitton, après avoir présenté à Hong Kong une pré-collection inspirée d'Hawaï.
A Paris, le phare de LVMH devrait attirer de nouveau un parterre de stars du rap, du cinéma ou même du sport, avec au premier rang le basketteur américain LeBron James, dernière égérie recrutée par la marque.
Après l'immeuble-malle sur les Champs-Elysées, le groupe français de luxe continue aussi de conquérir l'espace public parisien, malgré les protestations de certains élus, et annonce l'installation de sacs XXL, des structures gonflables immenses déjà vues en Chine, en parallèle de la Fashion week.
Outre cette tête d'affiche, les grandes maisons seront présentes, comme Valentino, Dior Homme ou Givenchy, qui défilera sans son directeur créatif Matthew Williams, parti au 1er janvier.
Après trois années d'absence au rendez-vous hivernal parisien, Olivier Rousteing revient pour Balmain.
Pour les maisons indépendantes, l'un des défilés les plus scrutés sera celui d'Alexandre Mattiussi pour AMI, l'as de la mode happening.
La semaine de la mode parisienne automne-hiver 2024-2025 emboîte le pas à celle de Milan. Et elle sera cadencée, avec 42 défilés et 32 présentations réparties sur six jours, de mardi à dimanche.
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