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Le sourire de l’Hebdo s’éteint à jamais

Al-Ahram Hebdo , Mercredi, 20 mars 2024

Al-Ahram Hebdo vient de perdre l’une de ses journalistes les plus aimées, Chourouq Chimy, cheffe de la rubrique Sports. L’annonce de sa disparition a lourdement affligé ses collègues. L’équipe de l’Hebdo lui rend un vibrant hommage.

Le sourire de l’Hebdo s’éteint à jamais

 L’Hebdo endeuillé. L’Hebdo meurtri. L’Hebdo atterré. L’annonce de la disparition de notre chère collègue Chourouq Chimy, cheffe de la rubrique Sports, des suites d’une éprouvante maladie, est tombée comme une foudre sur l’ensemble de l’équipe de notre journal qui a côtoyé Chourouq plus de 25 ans, ne gardant d’elle que les meilleurs souvenirs et la plus belle image. Celle d’une personne respectable et respectueuse. Celle d’une âme délicate et sensible, généreuse et pure.

Trouver les mots pour décrire ce que nous éprouvons tous est impossible, tant la consternation et la tristesse sont grandes parmi les collègues et amis de Chourouq. Trouver les mots pour décrire Chourouq est tout aussi impossible. Chourouq, la collègue, l’amie, la confidente. Celle qui était toujours là pour écouter chacun de nous, attentivement, patiemment. Toujours là pour consoler et conseiller. Réconforter et rassurer. Soutenir et épauler. On entrait dans son bureau accablé, on en sortait délivré de ses maux. Et cela concernait tout un chacun. Avec sa sagesse, sa douceur et sa bienveillance, elle savait toujours quoi dire à qui. Elle savait être l’amie de tous. Et être aimée de tous.

Au cours des quelques mois de répit que Dieu lui a accordés pendant sa maladie, elle a tenu à rencontrer tous ses amis et ses collègues, par petits groupes, séparément, comme pour un dernier adieu … Le sourire aux lèvres, l’âme enchantée, malgré la maladie et la douleur …

Chourouq, un ange d’amour. Un rayonnement. Une âme qui répand l’amour autour d’elle. Partout. Toujours. Quoi qu’il advienne. L’aura qui émanait de cet être exceptionnel propageait de l’amour à volonté. A chaque célébration, quelle qu’elle soit, un anniversaire, une sortie, un iftar comme celui que l’on organisait chaque année pour réunir autour d’une même table l’équipe de l’Hebdo ou autre, c’était elle qui orchestrait le tout, se chargeait de la décoration, des commandes, prévoyait des surprises, des jeux … La vie, bref. Chourouq avait l’art de donner de la vivacité là où la morosité se serait aisément installée. Et le don de donner tout court.

Chourouq l’attentionnée, la dévouée, l’altruiste. Sans cesse aux petits soins, à offrir à chacun de ses amis exactement ce dont il a besoin, à faire de petits gestes pour faire plaisir aux autres, à penser aux désirs des autres sans jamais rien oublier. A arranger tout cela le plus aisément du monde. C’était tout simplement une bénédiction …

Chourouq, la joie de vivre, la bonne humeur, l’allégresse. Affichant toujours son sourire resplendissant quoi qu’il arrive, quels que soient ses états d’âme. Un sourire éclatant comme on trouve rarement, sincère, vrai, tendre, gracieux, à tel point que l’on ne lui a presque jamais vu, à quelques rares exceptions près, un air sombre. Les rides qui commençaient à se dessiner sur son visage n’étaient pas celles des sourcils froncés, mais celles du rire, ces petites ridules autour des yeux et aux commissures des lèvres qui marquent un visage sans cesse souriant et riant.

Chourouq est partie et plus rien ne sera jamais comme avant. Elle est partie mais elle laisse derrière elle des tas de souvenirs chez chacun d’entre nous. Le souvenir d’une discussion bien intime. Celui d’un conseil sincère, d’une complicité secrète, d’une embrassade bien amicale. Ou encore d’une sortie ou d’un voyage pleins de joie, d’un rire jusqu’aux larmes. Chourouq est partie mais son aura flotte toujours à l’Hebdo.

Elle est partie, mais son sourire radieux continue d’illuminer nos vies …

 Chourouq Hayati

Que ton âme angélique repose en paix, ma chère Chourouq. Je te nommais toujours « Chourouq Hayati ». Ta présence dans ma vie était source d’espoir et m’incitait à progresser dans ma vie professionnelle et privée. Nos rendez-vous, tes petites remarques influentes, tes messages, tes conseils … Tout cela a laissé une empreinte inoubliable dans ma mémoire et dans mon coeur que ta personne pure a touché profondément. « Chourouq Hayati » … Adieu mon inoubliable Chouchou.

Ce n’est qu’un au revoir

Les réunions ne seront plus les mêmes. Les célébrations et les anniversaires seront désormais sans photos. Nos sourires ne seront plus jamais du fond du coeur. Avec ton absence, notre joie serait incomplète, et le sens de la gaieté que tu propageais va disparaître. J’ai compris avec ton départ la valeur de ton sourire : c’est le mot-clé qui rassemblait les gens autour de toi. Chourouq, tu nous manqueras énormément, mais les souvenirs que tu as créés continueront à nous réchauffer le coeur. Tu ne vas jamais nous quitter, ton âme restera à jamais parmi nous, tu es imprégnée dans nos pensées et nos esprits. Que ton âme repose en paix.

Une photo sans toi

Maintenant, je comprends pourquoi tu aimais tant prendre des photos, c’était ton moyen de garder un souvenir de chaque instant que tu as partagé avec nous. Tu savais que ton séjour dans notre monde ne serait pas long et tu as voulu nous laisser un petit rappel de toi, de ton sourire, de ton visage radiant, de ta vivacité et surtout de ton amour. Tu l’as bien compris, ce sont ces instants, ces photos et ces souvenirs qui donnent à la vie sa valeur et son sens. En les regardant, le bonheur de t’avoir connue convoque un sourire, mais, après le silence de ton absence, ces photos sont tout ce qui nous reste. Sans toi, la photo, tout comme la vie, demeure incomplète.

A toi, belle amie

Tu cherchais à immortaliser nos moments ensemble. Toujours à l’affût de la lumière, ta propre lumière. On était tous sur les photos que tu as prises, chacun à sa place. Aujourd’hui, en regardant tant de beaux souvenirs, nous pourrons au moins nous dire que nous avons eu le bonheur de te connaître.

Un papillon

Chourouq était le papillon qui semait la gaieté parmi ses collègues dans les différentes sections de l’Hebdo. C’était la simplicité et la pureté incarnées et elle était toujours serviable. La joie l’accompagnait dès qu’elle arrivait. Elle n’aimait pas que quelqu’un soit triste. Il ne faut pas oublier aussi qu’elle était une bonne journaliste qui acceptait toutes les tâches qui lui étaient assignées.

L’art de faire plaisir

Je l’avais rencontrée quelques jours avant son départ, elle était toujours aussi pétillante et pleine de vie. Elle qui remplissait notre journal de joie et de bonheur. Elle qui savait si bien faire plaisir à tous ceux qui la connaissaient, elle qui était la lumière qui éclairait notre journal. Soudainement, elle a décidé de filer sans même nous laisser le temps de lui faire des adieux. Elle est partie trop tôt et nous a laissé le désarroi et le silence. Mais ce n’est que partie remise ma chérie. Comme je te l’avais promis, on se retrouvera un jour, mais dans l’autre monde. Ton sourire résonne encore dans nos coeurs et ta joie de vivre restera à jamais gravée dans nos mémoires. Ton départ laisse un vide immense dans nos vies. Que ton âme repose en paix, ma chérie.

40 ans d’une amitié indéfectible

Depuis les bancs de l’école jusqu’à l’Hebdo, notre collaboration a tissé une trame de plus de 40 ans d’une amitié indéfectible. Ton absence laisse un silence assourdissant. Il est difficile de dire adieu à une âme aussi rayonnante que la tienne. Ton départ laisse un vide immense. Ta lutte vaillante contre la maladie a révélé un courage et une force extraordinaires, devenant une source d’inspiration pour chacun d’entre nous. Le départ précipité de ta lumineuse présence a plongé la rubrique Sports dans une profonde mélancolie.

A toi

A la façon que tu as d’être belle

A la façon que tu as de t’occuper de tout le monde

A tes mots tendres, à tes cadeaux et aux interminables anniversaires que tu célébrais

A toi … A tes sourires ensoleillés … A ceux qui m’habitent et me rassurent

A la vie, à l’amour … A nos sorties, autour d’un gâteau … A nos fuites estivales et nos éclats de rire

A l’éternel retour de l’amitié.

La maîtresse des sentiments

Avec son beau sourire, elle entre dans la salle de rédaction, m’appelle avec le surnom qu’elle me donnait et m’invite à prendre un thé. Puis m’offre mon chocolat préféré en me disant : « Tu me manques beaucoup, je t’aime », puis m’embrasse tendrement. C’était juste ce dont j’avais besoin. Et c’était exactement ce que Chourouq savait faire : comprendre les besoins des autres et les combler. Elle était toujours la maîtresse des sentiments.

Ma zone de confort

Une amitié qui a une empreinte dans ma vie.

A très bientôt

Elle s’est envolée laissant derrière elle un vide immense et un chagrin profond. Son sourire et sa joie de vivre, qu’elle transmettait sans mesure, laissent une peine sans limites que personne ne peut guérir. A très bientôt.

Douce brise

Notre Chourouq était une brise tendre et douce qui rafraîchissait nos coeurs. Pétillante et joyeuse, son sourire radieux et sa gentillesse exceptionnelle étaient un rayon de soleil dans nos journées de travail. Sa joie de vivre et sa bienveillance étaient autant de qualités qui la rendaient unique. Amie précieuse et irremplaçable, les moments partagés avec elle resteront gravés à jamais dans nos mémoires. Ma chère amie, ta disparition prématurée laisse un immense vide. Ton beau souvenir ne s’effacera jamais. Il restera pour toujours dans nos coeurs. Que ta belle âme repose en paix.

Chourouq, l’aurore

Elle portait bien son nom. Son accueil chaleureux, son humour et sa bienveillance ont toujours ensoleillé l’Hebdo et ont fait d’elle une personne agréable à côtoyer. La mort emporte le corps, mais jamais les souvenirs. Sa voix et son sourire vont continuer à résonner dans nos coeurs.

Un sourire, une vie

Ton sourire charmant m’a beaucoup encouragé dans mon premier jour à l’Hebdo il y a 24 ans. J’ai vu le même sourire la semaine dernière, mais malheureusement c’était le sourire d’adieu …

Des souvenirs que personne ne peut voler

Nous sommes devenues proches il y a assez peu de temps, mais si la mort laisse une peine que personne ne peut guérir, notre amitié si chère à mon coeur laisse un souvenir que personne ne peut voler. Si tu n’es plus là où tu étais, tu demeures là où je suis. Love you habibti.

Un pilier

Tu étais une soeur, une amie, un rayon de soleil, ta présence illuminait nos vies. Ton sourire radieux égayait nos jours, ta gentillesse et ta générosité, toujours. Tu étais le pilier qui nous soutenait dans les moments sombres, tu nous guidais. Tu étais là pour nous dans les joies et les peines. Une épaule sur laquelle se reposer sans gêne. Ton départ laisse un vide immense dans nos coeurs, une tristesse profonde. Mais nous garderons en nous les souvenirs, des moments partagés, des rires et des sourires. Chère amie, repose en paix, sereinement.

L’amie de tous

J’ai perdu une amie qui ne sera jamais oubliée. Elle avait un coeur d’or qui a réussi à offrir l’amour et l’amitié à chacun de ses amis, de ses collègues et des membres de sa famille. C’était une amie intime et proche de tout le monde. Ça sera difficile de trouver une personne pareille de nouveau. Adieu. Chourouq, je prie toujours pour toi.

Inoubliable

A l’ange qui était au passage momentané sur Terre, ton existence sera pour toujours gravée dans nos mémoires. Tu nous manques déjà.

Dans l’attente de nos retrouvailles

Salut Chourouq, j’attends avec impatience le jour des retrouvailles pour rire de tout ce qu’on se racontait et enchaîner avec un autre dialogue.

La tisseuse de liens

Elle possédait un sens inné de la connexion humaine, dans son essence même. Tisser des liens était sa nature profonde, une mission qu’elle accomplissait sans effort. Elle s’était miraculeusement forgée une place dans tous les groupes aussi disparates qu’ils soient et avait ce don extraordinaire de faire en sorte que chacun se sente vu et apprécié. Toujours un compliment, un cadeau, un message ou un geste attentionné. Son sourire n’était pas une simple expression, mais une invitation. Une invitation pour l’autre, mais probablement aussi un moyen pour elle de se décharger, ne serait-ce que pour un instant, de ses propres fardeaux. C’était sa force, son bouclier contre les épreuves de la vie. C’était peut-être son but non-dit, sa raison d’être, nous rappeler la force que l’on trouve dans la connexion humaine. Nous avons perdu une âme lumineuse, comme le veut son prénom, qui nous a montré le chemin du véritable lien.

Un ange s’en va

Elle était l’ange de notre journal. Son sourire ne quittait pas son beau visage. Elle nous a quittés, elle s’est envolée. Elle laisse dernière elle de nombreux souvenirs doux comme sa voix. Sa joie de vivre était contagieuse et sa gentillesse sans précédent. Je n’ai malheureusement pas compris que ton dernier message était un message d’adieu … RIP my friend.

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