Etaient présents les partenaires de financement et de développement, parmi lesquels la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, l’USAID, la Banque mondiale et la Société financière internationale. Les objectifs de la plateforme NWFE, qui est un catalyseur d’investissements verts dans les trois secteurs susmentionnés, ont été alignés sur le plan national, mettant en évidence les actions climatiques et la stratégie nationale du changement climatique 2050.

Selon la ministre, le programme vise à mobiliser des investissements de l’ordre de 14,7 milliards de dollars pour exécuter 9 projets d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques au niveau des trois piliers. Pour le pilier de l’énergie, les projets comprennent l’arrêt de 5 GW de la capacité de production d’électricité inefficace, générée à partir du pétrole et gaz, l’installation de 10 GW de capacité d’énergies renouvelables et le soutien des investissements dans les réseaux électriques. Au niveau du pilier de la nourriture, les projets consistent à déterminer la portée géographique de tous les projets à l’échelle nationale, selon les priorités et les besoins étatiques, en tenant compte d’une répartition équitable entre les zones. Alors que pour le pilier de l’eau, il est basé sur deux projets : le projet de dessalement d’eau utilisant les énergies renouvelables (atténuation et adaptation) et celui d’extension des systèmes d’irrigation à l’énergie solaire, appelé Scalling-up Solar Pumping for Irrigation.

Les partenariats du NWFE avec les institutions financières internationales proposent des outils de financement innovants stimulant les investissements du secteur privé dans les projets climatiques. Partant, la structure financière du programme comprend des services de consultations, des études de faisabilité, des financements concessionnels et les échanges de dettes.