La visite, décrite comme « excellente et une réussite » par le président français, a relancé la relation bilatérale franco-algérienne après des années de tensions. Les deux présidents ont signé une série d’accords de coopération, promettant non seulement un dialogue politique renforcé, mais aussi un nouvel élan économique, avec la mise en place d’un « partenariat équilibré » dans des secteurs divers, et d’une coopération énergétique dans les domaines du gaz et de l’hydrogène. La question des mémoires a également été abordée, avec la création d’une commission mixte d’historiens, pour travailler sur les archives de la période de la colonisation et de la guerre d’indépendance. Cette visite intervient à un moment-clé, la France ayant besoin de l’Algérie pour assurer son approvisionnement en gaz face à la crise énergétique en Europe. Elle témoigne aussi de la volonté de la France à assurer son rôle stratégique dans la région après s’être récemment retirée du Mali.
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