Le musicien Mohamed Sharara.
L’Opéra organise une cérémonie intitulée "Mosaïque ... Quand la musique arabe rencontre le jazz "par le violoniste Mohammed Sharara, à 20h mardi 7 janvier sur le petit théâtre.
Le programme comprend une anthologie de pièces musicales arabes et internationales.
« Le projet Mosaïque est basé sur l’intégration de la musique arabe avec la musique occidentale inspirée de l’art de la mosaïque, cet art islamique basé sur l’assemblage de petits carreaux multicolores en une seule œuvre très harmonieuse, en dépit de sa diversité », dit Sharara.
Il combine plusieurs arts de la musique arabe et occidentale, la danse et le chant pour fournir une œuvre intégrée.
Sharara appartient à une ancienne famille musicale. Il est le petit-fils du musicien décédé Attia Sharara. Son père, le violoncelliste Ashraf Sharara, et sa mère, la pianiste Iman Sami, sont tous deux professeurs au Conservatoire. Il a commencé sa carrière artistique en tant que joueur de violoncelle, puis il s’est qualifié à travers des ateliers d’art en Egypte, en Russie et en Suisse pour devenir chef d’orchestre.
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