Musique :
« Chameleon » et « Embryo »
Le 11 août, à 22h
Cairo jazz Club, rue 26 juillet, Doqqi.
Jazz classique des années 1970, mêlé avec du jazz moderne et de la musique rock, aux rythmes plus dynamiques. C’est ce que proposent les groupes « Chameleon » et « Embryo » qui promettent d'enchanter leur auditeur avec une performance éclectique, immersive et interactive.
« Sohebt Al-Semsemiya »
Le 11 août
Bibliothèque d’Alexandrie, Al-Chatbi.
La troupe « Sohbet Al-Semsemiya » met en vedette l’art de la Sémsémiya, sa danse et son héritage musical. La Sémsémiya est tout d’abord un instrument musical répandu dans les villes d’Ismaïliya, de Suez et de Port-Saïd.
Abu
Le 12 août, à 20h
Bibliothèque d’Alexandrie, Al-Chatbi.
« Talat Daqat » (trois battements de cœur) est la chanson phare choisie par le chanteur égyptien Abu pour le festival d’été de la Bibalex. Passionné de Fayrouz, d’Abdel-Halim Hafez, de Sayed Mekawy et de Bob Dylan, Abu favorise les chansons qui portent un cachet romantique, simple et léger. Au festival, Abu interprétera également sa chanson « Charbat » (jus).
F-Spins, Fayek et Mazen
Le 12 août, à 21h
Cairo jazz Club, 197, rue 26 Juillet, Doqqi.
Des airs de tech-house jouée dans une ambiance chill. C'est l'heure d’un « Disco-Tech » (discothèque) animé par les DJS F-Spins, Fayek et Mazen. Rendez-vous avec une soirée emblématique !
« Track Band »
Le 12 août à 20h
Sakiet El Sawy, rue 26 Juillet, Zamalek.
Le groupe « Track Band » rend hommage au rock n’roll classique des années 1970. Ce groupe dynamique de 8 musiciens donne vie à tous les morceaux d’une musique sophistiquée qui fait danser, chanter et ainsi mettre de l'ambiance dans un party. Et ce, en revivant les grooves intemporels du rock n’roll.
« Shams & Friends »
Le 13 août, à 22h
Cairo jazz Club, 197, rue 26 Juillet, Doqqi.
« Shams & Friends » aiment jouer des sons pop synthétiques distinctifs avec des éléments funk et post-punk. De la musique pop inspirée du groupe égyptien indépendant « Dirty Backseat ».
Saad Al-Oud
Le 13 août, à 21h
Room Art Space. The Spot Mall, Le Nouveau Caire
Promouvoir et revivifier le patrimoine musical classique arabe auprès des jeunes. Telle est la mission engagée du jeune luthiste égyptien Saad Al-Oud. Tout est au menu : hip-hop, jazz, blues, rap, house, techno, rock … D’ailleurs, Saad aime créer un public au-delà des frontières, en lui jouant aussi les plus belles compositions de Mohamad Abdel-Wahab, Baligh Hamdi, Abdel-Halim Hafez, Sayed Mekkawi, Mohamad Fawzi et d'autres.
Abdel-Basset Hamouda
Le 14 août, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza, Sheikh Zayed.
Le chanteur populaire égyptien du « chaabi » Abdel-Basset Hamouda aime chanter le chagrin d’amour.
« 90’s Band »
Le 14 août, à 20h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
Le « 90’s Band » chante les plus grands hits des années 1990. Du rock à la pop, en passant par des chansons égyptiennes et une variété internationale. Le groupe plonge son auditeur dans l’ambiance de cette décennie.
AMK et Clay Lio
Le 15 août, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610), Al-Guézira Plaza, Sheikh Zayed.
MK et Clay Lio sont deux rappeurs qui se rejoignent à leurs platines vinyles. Ensemble, ils sont prêts à faire tourner les rythmes mélodiques les plus chauds d’une techno percussive-rythmée !
"MOSHTRQ"
Le 15 août, à 20h
Cairo jazz Club, 197, rue 26 juillet, Doqqi.
"MOSHTRQ" s'associe au groupe berlinois/barcelonais « No_Stone » pour animer ensemble une soirée éclectique de morceaux percutants et riches en sons de basses électriques.
« Tablet El-Sitt »
Le 15 août à 20h
Sakiet El Sawy, rue 26 juillet, Zamalek.
« Tablet El-Sitt » (la percussion de la femme) est une troupe de musique folklorique égyptienne composée de femmes percussionnistes. Le groupe a été fondé par Soha Mohamed Ali, en 2019. Et ce, après avoir étudié le tabla avec son mentor, Saïd Al-Artiste. « Tablet El-Sitt » vise à revivifier les plus belles chansons égyptiennes et arabes parlant de la femme, notamment celles centrées sur les rythmes et les tempos des percussions.
Tamer Ashour
Le 15 août, à 21h
Village de la défense aérienne, Marsa Matrouh.
Connu pour ses chansons romantiques, d’amour et de nostalgie, Tamer Ashour est parvenu à s’imposer sur la scène artistique égyptienne. Et ce, depuis la sortie de son album «Kalemouha Ani » (parlez-lui de moi), en 2006, l’un des plus vendus à « Rotana Records ». La soirée d’Ashour est dans le cadre de « Layali Misr » (les nuits d’Egypte).
Nesma Abdel-Aziz
Le 15 août, à 20h
Citadelle du Caire, rue Salah Salem, Vieux Caire.
Très dynamique et très vivante dans son jeu sur le marimba et le xylophone, Nesma Abdel-Aziz joue de la musique orientale au rythme léger qui se mêle à d’autres influences musicales occidentales. La soirée est dans le cadre du Festival de la Citadelle de la musique et du chant.
Carmen Soliman
Le 15 août, à 22h
Citadelle du Caire, rue Salah Salem, Vieux Caire.
Adepte de l’école transcendantale du grand « Tarab » (transe, groove oriental), la chanteuse Carmen Soliman, qui se dote d’une voix flexible, vise à revivifier la tradition musicale en lui injectant du sang nouveau. Musique arabe, mélodie orientale ou occidentale, classique ou moderne, le répertoire de Carmen opte pour des chansons d’une grande diversité musicale.
Nawel Ben Kraïem
Le 16 août, à 20h30
Bibliothèque d’Alexandrie. Al-Chatbi.
Auteure compositrice et interprète franco-tunisienne, Nawel Ben Kraïem chantera de son album « Mama Please » grâce auquel elle a remporté en 2009 le prix « Découverte », décerné par Monte Carlo Doualiya et Radio France internationale à Alexandrie.
Andy Cheikho
Le 16 août, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610), Al-Guézira Plaza, Sheikh Zayed.
Formé d'Amer et Mobbz, le groupe « Urban Candy » est un duo dynamique qui joue du hip-hop, de la house music, du groove et du RnB (rythme et blue). Rendez-vous avec une soirée amusante à laquelle se rejoint Andy Cheikho, connu par sa musique d’ambiance.
« Samerov », « Fabric » et « Los Profundos »
Le 16 août, à 20h
Cairo jazz Club, 197, rue 26 juillet, Doqqi.
Les trois groupes « Samerov », « Fabric » et « Los Profundos » joueront de la House et de la Techno, des musiques électroniques undergrounds, très minimalistes et robotiques.
Hamza Namira
Le 16 août
Festival Al-Alamein, ville Al-Alamein, Musical Arena.
Le chanteur, auteur, compositeur et multi-instrumentiste égyptien Hamza Namira est la star de l’indie pop. Au programme, les plus belles chansons de Namir, celles produites par « Awakening Records », dont « Ehlam Maay » (rêve avec moi), « Insan » (homme), etc.
Souad Massi
Le 16 août
Festival Al-Alamein, ville Al-Alamein, Musical Arena.
Auteure et compositrice franco-algérienne, Souad Massi est reconnue pour sa musique folk et chaâbi. Sa palette de couleurs sonores s’élargit vers la pop, la country, le fado portugais, la musique arabo andalouse, le rock américain, le flamenco ... Massi creuse son sillon de femme engagée, émancipée, une femme de son temps qui chante ses combats comme jamais.
« Gouda Bar » d’Aly Eissa
Le 17 août, à 22h
Cairo jazz Club, rue 26 juillet, Doqqi.
« Gouda Bar » est un projet de musique instrumentale original créé par le compositeur et joueur de luth Aly Eissa dont ses compositions créent des atmosphères méditatives profondément enracinées dans la musique égyptienne et occidentale. A la même soirée participent Basheer qui puise ses chansons dans le folklore saïdi (de la Haute-Egypte).
« Black Theama »
Le 17 août, à 20h
Citadelle du Caire, rue Salah Salem, Vieux Caire.
Le nom du trio « Black Theama » renvoie à la musique des noirs dans le monde, y compris celle de la Nubie. De la musique traditionnelle, de la pop …, la riche palette musicale de « Black Theama » est riche en genres musicaux.
Loay
Le 17 août, à 21h
Citadelle du Caire, rue Salah Salem, Vieux Caire.
Le chanteur Loay fait son grand retour au festival de la Citadelle avec sa chanson phare « Ah Ya Leil Ya Ein », qui a acquis une grande renommée en Egypte et dans le monde arabe en 2002.
TV
« Emily in Paris »
Le 15 août
Sur Netflix.
Dans la 4e saison de la série « Emily In Paris », la vie amoureuse de sa protagoniste Emily sera encore mouvementée. La série, créée par Darren Star, accentue que « parfois, ce que l’on désire n’est pas ce qu’il nous faut ».
« The Green Mile »
Le 16 août
Sur Netflix.
Paul Edgecomb, pensionnaire centenaire d'une maison de retraite, est hanté par ses souvenirs. Dans cette maison se trouvait un colosse du nom de John Coffey, accusé du viol et du meurtre de deux fillettes. Intrigué par cet homme candide, timide et aux dons magiques, Edgecomb va tisser avec lui des liens très forts. Un film de De Frank Darabont, avec Tom Hanks.
« Omar Effendi »
Le 18 août
Sur Shahid
« Omar Effendi » est le titre d’un feuilleton joué par le comédien égyptien Ahmed Hatem. L’histoire se déroule dans les années 1940. Omar Effendi, joué par Ahmed Hatem, vit une histoire d'amour avec la danseuse Zizi, qu’incarne la comédienne Aya Samaha. « Omar Effendi », une série de 10 épisodes, est une comédie sociale et romantique.
Cinéma
« Al-Molhed »
A partir du 14 août
Dans les salles du cinéma
Dans un cadre dramatique, le film « Al-Molhed » (l’Athée) traite de la question de l'extrémisme religieux et de l'athéisme qui touche et se propage parmi les jeunes, ainsi que de l'impact de la propagation de tels phénomènes sur les individus et la société. Scénario d’Ibrahim Issa, réalisation de Mando El Adl et musique de Rageh Daoud, l'Athée met en vedette Ahmed Hatem, Hussein Fahmy, Mahmoud Hémeida ...
« It Ends With Us »
Dans les salles du cinéma.
« It Ends With Us » ou (Jamais Plus) raconte l’histoire de Lily Bloom laquelle surmonte une enfance traumatisante. Elle se lance dans une nouvelle vie à Boston et poursuit son rêve de toujours d’ouvrir sa propre boutique. De sa rencontre fortuite avec le charmant neurochirurgien Ryle Kincaid naît une connexion intense. Lily apprend à s’appuyer sur sa propre force et fait un choix impossible pour son avenir. Un film de Justin Baldoni, avec Blake Lively.
« Les Filles d’Olfa »
Le 13 août, à 14h
Cinéma Zawya, 15, rue Emaddedine, Orabi, Al-Azbakiya.
Olfa est une Tunisienne et mère de quatre filles. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. Pour combler le vide laissé, la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania invite des actrices professionnelles dans ce qui devait être initialement un documentaire et fait découvrir au spectateur la vie d'Olfa et de ses filles. Le film reçoit le César du meilleur documentaire en 2004.
« Chaqet Misr Al-Guedida »
Le 12 août à 16h30 et 19h
Le 13 août à 14h et 16h30
Cinéma Zawya. 15, rue Emadeddine, Orabi, Al-Azbakiya.
Yéhia (Khaled Aboul Naga) loue un appartement dans la banlieue d'Héliopolis au Caire, loin de chez ses parents et à proximité de son travail dans le secteur bancaire. Il découvre dans sa nouvelle maison à Héliopolis que l'esprit ou le fantôme d'une ancienne locatrice, Tahany, est présent dans l'appartement. Yéhia veut en savoir plus sur Tahany. « Chaqet Misr Al-Guedida » (l’appartement d’Héliopolis) est un film de Mohamed Khan.
Théâtre :
« Ariss Al-Bahr »
Les 17 et 18 août, à 20h
Rawabet Art Space, 5, rue Hussien El-Meaamar, de la rue Mahmoud Bassiouny, centre-ville cairote.
« Ariss Al-Bahr » (le triton), mise en scène de Walid Talaat, est joué par les étudiants de l’Université britannique d’Egypte. Chorégraphie de Sherin Hegazy, la pièce théâtrale se déroule dans un contexte lyrique, évoquant le « mawal » (chant populaire) « Masseoud et Wajida » de Mohamed Taha. C’est une histoire épique d’une querelle entre deux frères de la Haute-Egypte sur l'héritage de leur père. « Ariss Al-Bahr » fait vivre le spectateur dans des moments de bien et de mal, de joie et de peine, de séparation et de rencontre …
Festival national du théâtre égyptien
Jusqu’au 15 août
Dans sa 17e édition, le Festival national du théâtre égyptien porte cette année le nom de la grande dame du théâtre, la comédienne Samiha Ayoub. Le festival se poursuit avec un large éventail de pièces de théâtre jouées sur les planches d’un nombre de théâtres de l’Etat au Caire et à Guiza.
Exposition
Mohamed Aboul-Naga
Jusqu’à fin août
Hacienda Red. Côte-Nord.
« The Secret of Blue & Red » (le secret du bleu et du rouge) est le titre de la nouvelle exposition de l’artiste plasticien Mohamed Aboul-Naga lequel maîtrise l’art du papier à l’ancienne. L’évolution du rapport entre l’homme et la ville est à la tête de son art. A Hacienda Red, Naga expose des vases canopes avec des dieux de l’Egypte Ancienne, qui se présentent comme les « gardiens des secrets ». Et ce, côte à côte avec ses peintures aux compositions iconographiques proches de l’art funéraire égyptien, avec des corps volants ou flottants, des visages aux traits effacés, des femmes semi-nues, des modèles nubiens ... Des œuvres d'art peintes dans un magnifique mélange entre le bleu et le rouge, aux teintes audacieuses et intenses.
Lien court: