MUSIQUE :
« Brooklyn Babies »
Le 13 juillet, à 19h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
« Brooklyn Babies » est une troupe juvénile égyptienne composée de six musiciens égyptiens et une chanteuse incroyablement talentueuse. Elle reprend à sa manière, les chansons de Lana Del Rey, notamment sa chanson « Brooklyn Babies ». Il s’agit d’une soirée qui explore les romances tragiques dans sa musique, généralement sur un ton ouvertement mélancolique.
Reem Ezzeldin
Le 13 juillet, à 20h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
La chanteuse égyptienne Reem Ezzeldin se produit avec sa troupe pour animer une soirée de chant arabe. Elle sera accompagnée au violon par Ahmed Hassan, à la guitare Yasser Hachich, à la contrebasse Ahmed Oweis et aux percussionnistes Wissam Mokhar. A savoir que Reem Ezzeldin a participé au programme « The Voice », dans sa première édition, remportant un grand succès avec la douceur de sa voix exceptionnelle, son style unique et sa présence scénique captivante.
Dozee, B2B, A. Salah, Ouzo et Sebzz
Le 15 juillet, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC). 197, Rue 26 juillet, Agouza.
Des DJ de talents à la croisée : Dozee, B2B, A.Salah, Ouzo et Sebzz se rencontrent sur les planches du théâtre du CJC 610. Derrière leurs platines, ils joueront de la musique progressive, du groove et de l’électronique. Le tout prône une coexistence entre les différentes cultures du monde. La musique des cinq DJ aux talents à la croisée, infusée aux vibres orientales et jouée sur l’émotion, donne envie de bouger, de rêver et promet de révolutionner la scène contemporaine.
Danse salsa
Le 15 juillet, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le CJC 610 propose pour tout amateur de la danse à deux, la Salsa, au tempo vif. Salsa est un mot espagnol qui signifie « sauce » et, au sens figuré, charme, piquant. Il désigne à la fois un genre musical et une danse de couple ayant des racines cubaines.
« Casino Badi3a »
Le 15 juillet, à 20h
Room Art Space. The Spot Mall. Le Nouveau Caire.
« Casino Badi3a » est un groupe musical nouvellement créé. La majorité de ses membres sont des femmes, chanteuses et interprètes, lesquelles font revivifier à leurs manières, avec une musique qui s’inscrit dans la modernité, le bon vieux temps du spectacle égyptien, celui animé par Badia Masabni, surnommée à son temps la « Reine de la Nuit au Caire ». Artiste talentueuse ayant révolutionné le monde du spectacle en Egypte, Badia Masabni (1892-1974) est aussi une entrepreneuse visionnaire qui a ouvert le casino Badia, un cabaret qui est devenu le centre de la vie nocturne égyptienne.
Karim Osama, El Sadat et El Waili
Le 17 juillet, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Préparez-vous pour à une soirée épique ! Karim Osama, un rappeur talentueux aux paroles puissantes et à l’énergie dynamique. A ses côtés, El Sadat promet de captiver la foule avec son style unique et sa présence scénique inégalée. La soirée continue avec le producteur El Waili, dont ses paysages sonores révolutionnaires sont capables d’hypnotiser l’auditeur et de le faire voyager vers de nouveaux horizons musicaux. D’où une soirée de mixage musical électrisant qui promet de faire danser la foule.
Y.Gohar, Tamer Elderini et Jungar
Le 18 juillet, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le Cairo Jazz Club invite son auditeur à une soirée qui regroupe plusieurs DJS. A savoir : Y.Gohar, Tamer Elderini et Jungar. Ensemble, ils partageront sur leurs Platines Vinyles et avec leur public, des moments de bonheur aux rythmes palpitants et aux mélodies contagieuses de la house music et du groove.
Lone Band
Le 18 juillet, à 20h
Room Art Space. 10, rue Etiha Al Mohamin, Garden City.
Pour tout amateur de luth, l’instrument par excellence d’une musique d’art raffiné, il est invité à écouter Lone Band et ses mélodies romantiques. Ce dernier est capable de transformer la sonorité de son luth, en lui adoptant à chaque fois un timbre différent.
« Massar Egbari »
Le 18 juillet, à 20h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
La troupe égyptienne « Massar Egbari » regroupe cinq musiciens alexandrins. Ensemble, ils fondent, en 2004, un projet musical qui adopte essentiellement un langage sarcastique bien accueilli par le jeune auditeur. Les chansons de « Massar Egbari » se jouent sur un fond de musique rock, jazz, blues et mélodies orientales.
« Tablet El-Sitt »
Le 18 juillet, à 20h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
« Tablet El-Sitt » (Tambours de la femme) est une troupe de musique folklorique égyptienne composée de femmes percussionnistes. Le groupe a été fondé par Soha Mohamed Ali en 2019 après avoir étudié la Tabla avec son mentor, Saïd Al-Artiste. « Tablet El-Sitt » vise à revivifier les plus belles chansons égyptiennes et arabes parlant de la femme, notamment celles essentiellement centrées sur les rythmes et les tempos des percussions.
Cheikh Mahmoud Al Tohami
Le 18 juillet, à 20h
Sakiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
Avec sa troupe d'Al-Inchad Al-Dini (chant religieux), cheikh Mahmoud Al-Tohami entonne des chants sacrés en mêlant musique orientale et occidentale. Il puise dans l'art de l'inchad, pour transmettre plus largement le savoir et la passion de la psalmodie islamique.
Kazem Al Saher
Le 18 juillet
Festival Al-Alamein, Nouvelle Alamein.
Compositeur et chanteur iraqien, Kazem Al-Saher se produit à la 2e édition du festival d'Al-Alamein. Surnommé le « César » de la chanson arabe par Nizar Qabbani, et le « chantre irakien de l’éducation sentimentale arabe », Kazem Al-Saher chante l’amour courtois à travers le monde. Ses chansons mêlent poésie classique et influences modernes. Avec plus de 100 millions d’albums vendus, cet ambassadeur de l’Irak a remis la femme et le sentiment amoureux à l’honneur.
Tamer Ashour
Le 19 juillet
Notch Beach Club, Nouvelle Alamein, Côte nord.
Le chanteur Tamer Ashour connu pour ses chansons romantiques, et de nostalgie est parvenu à s’imposer rapidement sur la scène artistique égyptienne. Et ce, depuis la sortie de son album « Kalemouha Ani » (Parlez-lui de moi), en 2006, l’un des plus vendus à « Rotana Records ».
Majida El Roumi
Le 19 juillet
Festival Al-Alamein, Nouvelle Alamein. Musical Arena.
Majida El Roumi est une véritable légende de la musique au Liban. Sa voix angélique et sa passion ont touché les cœurs de nombreux fans à travers le monde. Majida est connue pour ses chansons romantiques et poétiques, et ses performances émouvantes ont fait d’elle une figure emblématique de la musique arabe. Elle a lancé sa carrière avec la célébrissime chanson « Kalimat » poésies de Nizar Kabbani, qui lui a remporté un grand succès.
Michael Onsy
Le 19 juillet, à 19h30
Beit Al-Oud (la Maison du luth arabe), Al-Darb Al-Ahmar. Al-Azhar.
Une soirée de musique arabe est proposée par le luthiste égyptien Michael Onsy. Il est connu par sa musique au parfum relaxant, parfaitement jouée dans une gamme d'émotions et d’états d'esprit. La musique de Onsy, née de ses propres compositions, explore la condition humaine dans tous ses états.
Pacmen, Shika Saber et Bibo
Le 19 juillet, à 21h
Cairo Jazz Club. Rue 26 juillet, Agouza.
Animateurs musicaux et scéniques, le quatuor Pacmen, Shika Saber et Bibo sont des DJ qui ont du talent et de la créativité. Et ce, avec un sens artistique avéré et une compréhension approfondie de l'art de mixer. Le quatuor maîtrise les platines vinyles et les logiciels des mixages originaux, capables de surprendre et d’enchanter son auditeur.
Hany Shenouda
Le 19 juillet, à 20h.
Théâtre Ouvert de l’Opéra du Caire. Guézira.
Le grand compositeur et pianiste Hany Shenouda collaborera au festival de l’été de l’Opéra égyptien, avec l’orchestre des instruments à cordes de l’Opéra d’Alexandrie, avec leurs violons, violoncelles, contrebasses… Shenouda a fondé, en 1977, la troupe « Al-Masryyeen ». Elle revient à nos jours, sous une nouvelle forme beaucoup plus juvénile afin de revivifier les plus belles chansons que la troupe avait interprétées dans les années 1980. « Al Masryyeen » aime partager un moment collectif chantant les poésies des grands Morsi Al-Sayed, Omar Baticha, Salah Jahnine et bien d’autres.
CINEMA :
Festival international des films d’animation du Soudan
Du 15 au 18 juillet, à 20h
Institut Français d’Egypte, Antenne Mounira. 1, rue Madrasset Al-Hoqouq, Mounira.
Dans la continuité d’« Ici le Soudan » en 2023, l’IFE poursuit son soutien des initiatives soudanaises. D’où le Festival international des films d’animation du Soudan qui offre un espace de visibilité de l’art soudanais. Le programme comprendra une cérémonie d’ouverture, un spectacle musical, des conférences interactives sur le cinéma d’animation, et des projections de films, dont « Ahmed Corona », réalisé par Ibrahim Sayed et « Potatoes Eaters » de Minas Mohamed Isa.
« Fly Me to the Moon »
Dans les salles du cinéma
Dans les années 1960, la course à l’espace fait rage entre les États-Unis et l'Union soviétique. Dans ce contexte, la NASA fait appel à Kelly Jones, une experte en marketing, pour redorer son image. Son arrivée n'est pas du goût du directeur de la mission Apollo 11, Cole Davis. Pour assurer ses arrières, la NASA demande à Kelly de prévoir au cas où un faux alunissage. « Fly Me to the Moon », est un film américain réalisé par Greg Berlanti et sorti en 2024.
« The Exorcism »
Dans les salles du cinéma
Anthony Miller est un acteur en proie à l’alcoolisme. Alors qu'il est en plein sevrage, il part tourner un film d’horreur. Il va alors tomber dans une psychose. Inquiète, sa fille Lee se demande s’il est retombé dans son addiction ou s'il est possédé. « The Exorcism » est un film de Joshua John Miller et M.A. Fortin, avec Russell Crowe.
"Rassael Al-Cheikh Draz"
Le 15 juillet à 19h et le 16 juillet à 21h30
Cinéma Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
« Rassael Al-cheikh Draz » (les lettres du Cheilh Draz) raconte la vie du cheikh et érudit azharite Muhammad Abdullah Draz (1894-1958), des décennies après sa mort. Le film retrace son parcours ainsi que son riche héritage, représenté dans le film, par des scènes inspirées des lettres manuscrites du cheikh, de ses journaux intimes, des souvenirs des membres de sa famille.
« Heroic Bodies »
A partir du 17 juillet
Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
En dépit du fait d’être privée du droit à disposer de leur corps et malgré des formes d’oppression brutales et violentes, explorent les diverses formes de lutte et de résistance avec courage. « Heroic Bodies » est un film de Sara Suliman.
« Gohr El Fe'ran »
A partir du 14 juillet
Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
Désireuse de gagner un peu plus d'argent, Kholoud en fait plus qu'elle ne peut en mâcher au travail et se lance dans une course contre la montre pour remplir un quota déraisonnable. « Gohr El Fe'ran » (Rat hole) est un film de Mohamed El Samman et sélectionné pour les JCC 2023.
« From Abdul To Leila »
Le 16 juillet à 19h
Cinéma Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
« D’Abdul à Leïla » est un documentaire de Leila Albayaty. Après une amnésie causée par un accident, Leila, jeune artiste française d’origine irakienne, reconstruit son histoire en se rapprochant de sa famille et en plongeant dans ses racines. Elle apprend l’arabe, interprète les poèmes de son père irakien exilé, s’immerge dans l’histoire de la guerre du Golfe en Irak. C’est l’odyssée d’une femme qui chante son histoire pour se réinventer, habitée par un irrépressible désir de vivre.
Deserts
Le 14 juillet à 16h30
Le 15 juillet à 19h
Le 16 juillet à 14h et 16h30
Cinéma Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
Mehdi et Hamid travaillent pour une agence de recouvrement à Casablanca. Les deux pieds nickelés arpentent des villages lointains du grand sud marocain pour soutirer de l'argent à des familles surendettées... Un film de Faouzi Bensaïdi avec Fehd Benchemsi.
« Les Meuts »
A partir du 18 juillet
Cinéma Zawya. 15, rue Emaddedine, Al-Azbakiya.
Dans les faubourgs populaires de Casablanca, Hassan et Issam, père et fils, vivent au jour le jour, enchaînant les petits trafics pour la pègre locale. Un soir, ils sont chargés de kidnapper un homme. Commence alors une longue nuit à travers les bas-fonds de la ville... « Les Meuts », un film de Kamal Lazraq.
TV :
« Hogra Waraq Maqass »
Sur Shahid.
Le feuilleton turc « Hagara Waraqa Maqass » (Pierre papier ciseaux) traite d’un concierge atteint de la maladie d'Alzheimer, se voit accusé de meurtre. Son fils, doté d'une mémoire étonnante, n’est que son dernier espoir. Il combat pour prouver l’innocence de son père face à une famille influente à Istanbul.
« A Secret to Die »
Sur Shahid.
Vols de banque, tromperies et vies secrètes rattrapent un menteur en série, alors que sa vie s'engage sur un chemin désespéré et sombre qui aboutit à un meurtre brutal. « A Secret to Die », est une série TV diffusée sur Shahid.
Lien court: