Musique :
« 404 Band »
Le 3 juin, à 21h
Room Art Space. The Spot Mall, le Nouveau Caire.
Le groupe égyptien de rock énergique, dynamique et captivant « 404 Band » combine savamment l’intensité brute du rock épique avec les mélodies entraînantes du pop. Et ce, pour créer une musique avant-gardiste. Les paroles des chansons sincères, émotionnelles et électriques de « 404 » se jouent sur des basses palpitantes, aux rythmes puissants et aux riffs légendaires de la guitares rock aux envolées mélodiques.
Salsa cubaine
Le 3 juin, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le CJC 610 propose, pour tout amateur de la danse à deux, la salsa, les figures de base en couple de cette danse. La salsa est un mot espagnol qui signifie « sauce » et, au sens figuré, charme, piquant. Il désigne à la fois un genre musical et une danse de couple ayant des racines cubaines. Cette musique de danse au tempo vif est popularisée dans le monde entier.
« ARTicaria »
Le 4 juin, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le groupe « ARTicaria » est formé de quatre jeunes artistes musiciens issus d'horizons culturels différents. Ils partagent un objectif commun : divertir les gens à travers la musique et le rire. « ARTicaria » propose un spectacle de divertissement unique en son genre qui intègre de la musique et qui stimule l'énergie positive. Le line-up dans la composition des membres du groupe comprend Ezz Shahwan (bassiste, guitariste et compositeur), avec les comédiens Gilan Alaa et Bakri Khaled.
« Maii Waleed »
Le 4 juin, à 20h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Maii Waleed est une jeune autrice compositrice et interprète égyptienne, née à Alexandrie en 1988. Elle est également pianiste et guitariste. Elle a sorti son album en mai 2013. Beaucoup de ses chansons se concentrent sur les thèmes de l’amour et de l’identité.
Joe Aiaad
Le 7 juin, à 21h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Joe Aiaad se produit pour la première fois avec Saify et Deemusik au CJC. Ensemble, ils font tourner les platines vinyles, dans un mélange de rythmes traditionnels et de vibrations. DJ passionné et coordinateur d'événements, Joe illumine les pistes de danse depuis 2023. Il est un spécialisé dans l’Afro House, l'Afro Tech, l'Oriental House et les rythmes mélodiques.
Saliah et Lydie the DJette
Le 7 juin, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Préparez-vous à une soirée épique où vous vous retrouverez à danser sans arrêt! Connue pour ses remix de classiques arabes mélangés à de la basse britannique et à divers sons de club de haute qualité, les sets de Saliah sont tous axés sur l'énergie et les gros sons. Quant à Lydie the DJette, elle rejoint les sets de Saliah, donnant plus d’énergie à sa musique électronique et hip hop.
« El Ekhwa Abo Shaar »
Le 7 juin, à 20h
Saqqiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
« El Ekhwa Abo Shaar » (les frères Abo Shaar) est un groupe syrien de chants religieux, composé de dix membres. Six d’entre eux sont des frères de la famille Abo Shaar, dont le père est le cheikh Mouwafek Abo Shaar Al-Husseini qui était chanteur dans sa jeunesse pour certains des grands savants de Damas. Il était également un spécialiste des mélodies. Le groupe chante des poèmes à l’éloge du prophète Mohamad.
A la mémoire du Cheikh Imam
Le 7 juin, à 20h
Théâtre Afaq de la culture et des arts. 6, rue Khalig Al-Khouli, de la rue Ramsès, Al-Azbakiya, centre-ville.
A la mémoire du Cheikh Imam et en célébration du 29e anniversaire de sa mort, les amateurs de ce dernier lui rendent hommage. C’est leur manière de revivifier la mémoire de ce chanteur compositeur qui a constitué un phénomène social, né effectivement de la colère grandissante. C’est lui qui a attrapé les tripes des Egyptiens après la défaite de 1967. Les chansons révolutionnaires pétries du réalisme du Cheikh Imam, ainsi que ses poésies sont issues des profondeurs des traditions égyptiennes et d’une grande acuité politique.
« Kayan »
Le 8 juin, à 20h
Saqqiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
Le jeune groupe « Kayan » chantera de son nouvel album intitulé « El Ghema » (le nuage). Kayan est un groupe de « grunge » arabe, qui est un genre musical dérivé du rock et de la culture underground. Cette dernière est la forme la plus populaire du rock alternatif au niveau mondial dans les années 1990.
Shereen Abdo
Le 8 juin, à 20h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Autodidacte et polyvalente, la chanteuse reine de la musique « Shaabi » Shereen Abdo se produit au CJC avec son emblématique « Sultana Project ». Abdo aime reprendre des œuvres orientales, classiques et folkloriques égyptiennes, en leur ajoutant de nouveaux arrangements musicaux. La voix d’Abdo, riche en tonalités et explosive en sonorités, est capable de chanter tous les styles musicaux. Et ce, dans un mélange aux entrelacs funky, jazzy, folk électronique, métal, blues, folklorique, musique gnaoua et surtout rock.
Yassen Mahgoub
Le 8 juin, à 20h
Room Art Space. 10, rue Ittihad Al-Mohamin, Garden City.
Les paroles des chansons de Yassen Mahgoub sont d’une audace absolue. Sa musique un peu violente est souvent accompagnée de cris d’enthousiasme. Et ce, en mêlant rock arabe et heavy metal. Une musique inspirée du fameux groupe britannique « Pink Floyd ». Et qui dit musique rock et heavy metal, dit tendance musicale qui se nourrit du désespoir et de la rage des jeunes, ceux qui vivent une période de différenciation, de recherche d’identité, de conflit avec eux-mêmes et avec le monde qui les entoure.
Théâtre:
« Al-Galssa »
Les 6, 7 et 8 juin, à 20h
Rawabet Art Space. 5, rue Hussein Pacha Al-Meemari, centre-ville.
« Al-Galssa », mise en scène de Amena Ebeid, est une pièce de théâtre qui explore des thèmes universels, tels que le bien et le mal, la rédemption et la nature humaine, voire autant de tentations entre Satan et Adam. Et ce, de manière épique et profonde, face à un monde en perpétuelle transformation.
« Konafa Comedy Night »
Le 6 juin, à 20h
Saqqiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
Le groupe « Konafa » propose à ses fans une soirée de « stand up comedy ». Sans décors ni accessoires, le groupe promet de briser le « quatrième mur », en prenant le spectateur à témoin des histoires qui lui sont arrivées. Il s’agit de sketches et d’histoires drôles à base de situations quotidiennes qui mettent souvent en scène des moments prétendument vécus. Rendez-vous avec les jeunes humoristes Nour Ahmed, Mohamed Amgad, Mohamed Halawa, Mahmoud Hassan et Abdoul.
« Comedy Gang »
Le 7 juin, à 20h
Room Art Space. 10, rue Ittihad Al Mohamin, Garden City.
Le groupe « Comedy Gang » présentera un spectacle de Stand Up Comedy promettant un jeu de scène très humoristique et très interactif.
Danse :
Ballet de l’Opéra national de Grèce
Les 6 et 7 juin, à 20h30
Grande salle de l’Opéra du Caire. Guézira.
Le Ballet de l’Opéra national de Grèce présente deux spectacles de danse classico-moderne, faisant partie d’un riche répertoire d’opéras-ballets. A savoir « Dancing with My Own Shadow » et « Return of the Summer », direction critique et mise en scène du Grec Giorgos Koumendakis. Avec sa musique énigmatique et ses scènes de danses enchevêtrées, « Dancing with My Own Shadow » est un hommage à son grand compositeur, Manos Hadjidakis. Quant à « Return of the Summer » (retour de l'été), chorégraphie de Giannis Mandafounis et de Konstantinos Rigos, sur une musique de Giorgos Koumendakis et Hector Berlioz, il est un spectacle qui déborde de dynamisme et d’énergie en danse.
Opéra :
« Carmen »
Le 2 juin, à 20h30
Grande salle de l’Opéra du Caire. Guézira, Zamalek.
La troupe de l’Opéra du Caire présente l’opéra « Carmen ». Parmi les cigarières de Séville, Carmen la bohémienne est la plus séduisante et la plus fantasque. Appréhendée pour avoir agressé une camarade, elle subjugue le brigadier Don José qui la laisse s’échapper. Pour elle, il perd son grade puis déserte, embrassant dès lors la vie aventureuse des contrebandiers. « Carmen » est un opéra comique en quatre actes de Georges Bizet, sur un livret de Henri Meihac et Ludovic Halévy. L’œuvre est une adaptation de la nouvelle Carmen de Prosper Mérimée dont ses événements se déroulent dans une ambiance orientaliste, celle d’une Espagne imaginaire.
TV :
« Daway Safar »
Sur Shahid
« Daway Safar », avec le chanteur et comédien Amir Eid, est un feuilleton qui tourne autour du protagoniste Ibrahim dont la vie est un court exil. Il vit dans un monde de son imagination. Lorsqu'il se trouve dans une situation difficile, il décide de changer de vie. C’est son jeune voisin Ali qui l'aide en cette affaire. « Daway Safar » est un feuilleton sur la philosophie du départ.
Concours :
« Ma Thèse en 180 secondes »
Le 4 juin, à 19h
Institut Français d’Egypte. 1, rue Madrasset Al-Houqouq Al-Frinsiya, Mounira.
La 6ème édition du concours « Ma Thèse en 180 secondes » aura lieu à l’IFE, antenne de Mounira. Ce concours lance aux doctorants francophones le défi de présenter leur sujet de recherche, en français, en termes simples et en trois minutes. Les présentations seront évaluées par un jury et le gagnant sera invité à représenter l’Egypte à la finale internationale à Abidjan (Côte d’ivoire), en novembre 2024.
Cinéma :
« Les filles d’Olfa »
Jusqu’au 4 juin
Cinéma Zawya. 25, rue Emaddedine, Orabi, Al-Azbakeya, centre-ville.
« Les filles d’Olfa », de Kaouther Ben Hania, traite de la vie d'Olfa, Tunisienne et mère de 4 filles, oscillant entre ombre et lumière. Un jour, ses deux filles aînées disparaissent. La réalisatrice Kaouther Ben Hania convoque des actrices professionnelles et met en place un dispositif de cinéma hors du commun afin de lever le voile sur l’histoire d’Olfa et ses filles. Un voyage intime fait d’espoir, de rébellion, de violence, de transmission, de sororité et de questionnement. Ce film est dans le cadre des Journées cinématographiques du Caire.
« Le public et le privé : Un art de vivre »
Le 5 juin, à 13h
Bibliothèque d’Alexandrie. Al-Chatbi.
« Le public et le privé : Un art de vivre » est un film sur l’histoire de la musique andalouse, notamment sur Ziriab, un musicien et savant d’origine kurdo perse, dont le nom signifie le merle noir. Egalement homme de lettres, astronome et géographe, il est l'une des principales figures de l'histoire de la musique arabo-andalouse au IXe siècle. Il introduisit le oud (luth arabe) en Andalousie, après lui avoir ajouté une cinquième corde et en développant le jeu au plectre. A son arrivée à Cordoue, il créa une école de musique, premier conservatoire d'Europe ouvert à tous, financé par la cassette du calife. Outre ses travaux qui firent le succès et le raffinement de la musique arabo-andalouse, Ziryab, artiste de génie, eut à son actif bien d'autres inventions artistiques majeures.
« Back to Alexandria »
Le 5 juin, à 19h
Cinéma Zawya. 25, rue Emaddedine, Orabi, Al-Azbakeya, centre-ville.
« Back to Alexandria » (retour à Alexandrie) est un film de Tamer Ruggli. Son premier long métrage suit les retrouvailles entre Sue (joué par Nadine Labaki) et sa mère malade Fairouz (Fanny Ardant), aristocrate excentrique, après 20 années passées sans se voir. Un voyage entre la Suisse et l'Egypte, Le Caire et Alexandrie, entre hier et aujourd'hui. Face aux fantômes du passé, Sue se confronte à ses souvenirs et à sa mère. Pour panser les blessures de son enfance et devenir enfin la femme épanouie qui sommeille en elle. Ce film est dans le cadre des Journées cinématographiques du Caire.
« La Porte du Soleil »
Le 7 juin, à 19h
Cinéma Zawya. 25, rue Emaddedine, Orabi, Al-Azbakeya, centre-ville.
« Bab El Shams » (la porte du Soleil) est un film de Yousry Nasrallah. Le destin croisé de plusieurs personnages : Younès, un jeune combattant palestinien contre les Anglais, sa femme Nahila, son père Cheik Ibrahim, ainsi que le docteur Khalil et sa femme Chams. Ce film est dans le cadre des Journées cinématographiques du Caire.
« Mandoob Al-Lail »
Du 2 au 4 juin, séances à 14h, 16h30, 19h et 20h
Cinéma Zawya. 25, rue Emaddedine, Orabi, Al-Azbakeya, centre-ville.
A la tête du box-office local saoudien, « Mandoob Al-Lail » (coursier de nuit), genre thriller du réalisateur Ali Al-Kalthami, raconte la vie de Fahad (joué par le comédien saoudien Mohammed Aldokhei), un célibataire d'une trentaine d'années, alors qu'il navigue chaque nuit dans les rues animées de Riyad. Entre perte d'émotion, perte de son emploi et perte de livraisons, le protagoniste mentalement fragile fait une course contre la montre. Il se bat pour sauver son père malade dans un contexte de désespoir et d’opportunités. Ce film est dans le cadre des Journées cinématographiques du Caire.
« Darkness of Man »
Dans les salles du cinéma.
« Darkness of Man » est un film de James Cullen Bressack, avec Jean-Claude Van Damme. Russell Hatch est un agent d’Interpol qui assume le rôle de figure paternelle de Jayden, le fils d’un informateur tué lors d’un raid de routine qui a mal tourné. Des années plus tard, Hatch se retrouve à protéger Jayden et son grand-père d’un groupe de gangs impitoyables dans une guerre de territoire totale, ne reculant devant rien pour protéger Jayden et combattre quiconque se met en travers de son chemin.
« Furiosa »
Dans les salles du cinéma.
« Furiosa : Une saga Mad Max » est un film de science-fiction australo-américain, co-écrit et réalisé par George Miller. C'est la cinquième itération de la série « Mad Max ». Le film est présenté en avant-première mondiale « hors compétition » au Festival de Cannes 2024. Alors que le monde s'écroule, la jeune Furiosa est arrachée de la Terre Verte des Vuvalini et tombe entre les mains d'une grande horde de motards dirigée par le seigneur de guerre Dementus. Alors que les deux tyrans, les Vuvalini et Dementus, se font la guerre pour la domination, Furiosa survit à de nombreuses épreuves pour trouver le moyen de rentrer chez elle.
Exposition :
Khaled Hafez
Jusqu’au 24 août
Le Lab, au Walk of Cairo. Sodic Ouest, Sheikh Zayed. Guiza.
« The illustrated History of the Mundane » (l'histoire illustrée du banal) est le titre de la nouvelle exposition de l’artiste plasticien Khaled Hafez. Son art juxtapose sans cesse des images de l’Occident et de l’Orient, de l’Est et de l’Ouest, deux mondes qui s’alternent sur une même toile et s’attaquent à des thèmes divers, dont le sacré et le commercial. Et ce, au sein de la société de consommation. D’ailleurs, les études de Hafez dans le domaine des médias nouveaux et de l’art numérique, à l’Institut Transart, à New York, puis à l’Université Danube à Krems, en Autriche, lui ont beaucoup servi dans son art qui aime raconter des histoires en peintures et en vidéos. Des histoires créées à l’aide de photos séquentielles et d’images animées.
Lien court: