Musique
« Egypsana band »
Le 20 avril à 20h
Saqiet El Sawy. Rue 26 juillet, Zamalek.
« Egypsana band » est une jeune troupe égyptienne formée de sept musiciens. Jouant sur l’oud, le nay, le qanoun, le violon, la guitare, la troupe mêle la mélodie orientale à l’occidentale, avec de nouveaux arrangements musicaux.
Shereen Abdo
Le 20 avril, à 21h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Autodidacte et polyvalente, la chanteuse reine de la musique « Shaabi », Shereen Abdo se produit au CJC avec son emblématique « Sultana Project ». Elle sera accompagnée du clavier d’Islam Chipsy dont sa musique incorpore des éléments du mariage arabe traditionnel et des instruments électroniques. Shereen Abdo aime reprendre des œuvres orientales, classiques et folkloriques égyptiennes, en leur ajoutant de nouveaux arrangements musicaux. La voix d’Abo, riche en tonalités et explosifs en sonorités, est capable de chanter tous les styles musicaux. Et ce, dans un mélange aux entrelacs funky, jazzy, folk électronique, métal, blues, folklorique, gnawa, et surtout rock ….
Soirée DJS.
Le 20 avril, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le Cairo Jazz Club invite son auditeur à une soirée qui regroupe plusieurs DJS. A savoir : les DJS Andy Cheikho, Bubblegum Kollectiv, Y.Gohar, Aguizi, Rirri (Debut), Ziad Mousa, Moenes, Awadly, et Mazen A. Ensemble, ils partageront avec leur public des moments de bonheur aux rythmes palpitants et aux mélodies contagieuses de la house music et du groove, avec leurs Platines Vinyles.
« Transit Quartet »
Le 21 avril, à 21h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Le groupe « Transit Quartet » enchante d’habitude son auditeur avec ses sons doux, ses interactions et son magnifique répertoire de standards de jazz.
« AKI »
Le 22 avril, à 21h
Cairo Jazz Club. 197 a, rue 26 juillet, Agouza.
Le groupe « AKI » de Ramez et Nour Fahmy animera une soirée de musique minimaliste, dite aussi « musique répétitive ». Elle désigne plus spécifiquement l'ensemble des œuvres utilisant la répétition comme technique de composition.
« Soirée karaoké »
Le 22 avril, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al-Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Voici des micros de karaoké adaptés à l’appareil de lecture. Une sono de qualité. Un projecteur et un écran, c’est tout ce qu’il en faut pour une soirée karaoké.
« Silk’N Smoke »
Le 22 avril, à 21h
Room Art Space. The Spot Mall
En hommage au trio américain « Cigarettes After Sex », le groupe égyptien « Silk’N Smoke » invoque sur scène non seulement les puissants sentiments d'euphorie inhérents, mais parvient en quelque sorte à recréer des émotions romantiques les plus immersives, douloureusement nostalgiques, profondément aériennes et intensément visuelles. Ce sont ces qualités puissantes et uniques qui permettent aux chansons d'amour de « Silk’N Smoke » de transcender des fans de plus en plus dévoués.
« Cairota Band »
Le 23 avril, à 21h
Room Art Space. The Spot Mall.
De la musique beat, aux variations aussi bien régulières qu’irrégulières, des temps forts emportés et des temps faibles et doux. C’est ce que propose la jeune troupe égyptienne «Cairota Band » composée de jeunes filles. Elles promettent de faire bouger leur audience avec des battements musicaux qui mêlent la musique orientale à l’occidentale.
« Irtigalia »
Le 23 avril, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
Le groupe « Irtigalia », de l’improvisation sensationnelle signée au féminin est au rendez-vous au CJC 610. « Irtigalia » promet une communication plaisante avec son auditeur en l’invitant à vivre des moments de liberté.
Omar Khairat
Les 23 et 24 avril, à 20h
Grande Salle de l’Opéra du Caire. Guézira.
Le pianiste égyptien Omar Khaïrat se produit avec son orchestre. Khaïrat construit sa propre identité musicale, en tant que compositeur professionnel indépendant. Son style musical se caractérise par sa profondeur et sa richesse qui fusionne la musique arabe contemporaine avec la musique occidentale.
« Sharmoofers »
Le 24 avril, à 21h
Cairo Jazz Club (CJC 610). Al Guézira Plaza. Sheikh Zayed.
« Sharmoofers » est une troupe musicale qui enchante les foules, notamment le jeune auditeur épris de ses chansons sarcastiques, assez rythmiques. Fondé en 2012 par Mohamed Erqan et Ahmed Bahaa, « Sharmoofers » a commencé par diffuser ses chansons sur les plateformes de streaming et s’est contentée de sa page Facebook au début de sa carrière, pour se faire une place sur la scène musicale. Le groupe, qui s’est formé en 2021, compte 7 membres : Ahmed Bahaa (chanteur), Mohamed Al Arkane (basse), Mohammed Labib (saxophone), Mostapha Al Kardani (tambours) et Islam Ali (trompette).
« People’s Music »
Le 25 avril à 20h
Saqiet El Sawy. rue 26 juillet, Zamalek.
Dans un voyage musical captivant et émouvant, le groupe « People’s Music » (la musique du peuple) propose à son auditeur, une musique transculturelle aux compositions originales et aux chansons inédites. La musique de « People’s Music » a le pouvoir de franchir les limites nationales, de dépasser les clivages socioculturels, et de rapprocher les hommes avec les sons de la basse guitare d’Ahmed Al-Mustafa, de la percussion de Hossam Helal, ainsi que la voix émotionnelle et envoûtante de la chanteuse de la troupe Sahar El Zoghbi.
« Konafa band »
Le 25 avril à 20h
Saqiet El Sawy. rue 26 juillet, Zamalek.
Le groupe « Konafa » propose à ses fans une soirée de « stand up comédie ». Sans décors ni accessoires, le groupe promet de briser le « quatrième mur », en prenant le spectateur à témoin des histoires qui lui sont arrivées. Il s’agit de sketches et d’histoires drôles à base de situations quotidiennes, qui mettent souvent en scène des moments prétendument vécus. Rendez-vous avec les jeunes humoristes Nour Ahmed, Mohamed Amgad, Mohamed Halawa, Mahmoud Hassan et Abdoul.
« Melouk Al-Sanea »
Le 26 avril, à 20h
Théâtre Rawabet. 3, rue Hussein Al-Meemar, centre-ville.
« Melouk Al-Sanea » (les rois de l’industrie), est le titre d’une soirée de musique techno, rap et « mahraganat » (electro-chaâbi) qui regroupe un nombre d’artistes musiciens et chanteurs de ces différents styles de musique. Citons : le « DJ Jamaica », « Fifty Elostora », « Dzel Uzi », « Sulisizer », Amr Zaza, « DJ Toti », et « Veto ».
Théâtre
« Schokolade »
Les 20 et 21 avril, à 20h
Théâtre Rawabet. 3, rue Hussein Al-Meemar, centre-ville.
La pièce de théâtre « Schokolade », mise en scène par Ahmed Al-Attar, promet de plonger son spectateur dans le monde enchanteur de « Schokolade », où la musique rencontre la magie. C’est l'histoire captivante de deux jeunes étudiants en musique qui tombent par hasard sur une pièce abandonnée : un vieux piano mystérieux. Une fois que le piano commence à parler, les deux étudiants ensorcelés par la magie de cet instrument se lancent dans l’aventure, voire dans un voyage fascinant accompagné par le piano. Avec les comédiens Daniel Hany dans le rôle de Joe, et Amira Reda dans celui d’Anna.
« Asha Al-Tabla »
Les 23 et 24 avril, à 20h
Studio Nassibian, Association Al-Nahda des Jésuites. 15, rue Mahrani, Faggalah.
La pièce de théâtre « Asha Al-Tabla », basée sur des contes et des chants qui puisent dans le patrimoine folklorique des oasis égyptiennes, des véritables havres de paix au milieu des déserts, s’incruste de danse contemporaine. « Asha Al-Tabla » est mise en scène par le chorégraphe Al Monadel Antar et écrit par Mohamed Ragab. Ce projet est financé en coopération avec les instituts culturels nationaux de l'Union européenne (EUNIC).
« Rayya et Sakkina »
Les 25, 26 et 27 avril, à 20h
Théâtre Al-Goumhouriya, centre-ville.
Le spectacle « Rayya et Sakina », de la chorégraphe et la metteuse en scène Karima Bédeir et sa troupe «Forsan Al-Charq », mêle danse traditionnelle et contemporaine pour revisiter l’histoire des deux sœurs Raya et Sakina. Ces dernières avaient assassiné 17 femmes entre 1919 et 1920, à Alexandrie. « Rayya et Sakina » qui s’intéresse au côté psychologique des deux personnages féminins, est un spectacle qui ne cherche pas à raconter l’histoire que tout le monde connaît de ces deux femmes condamnées à mort en 1921, mais à montrer qu’elle est la raison derrière leurs crimes. Et ce, pour ne pas les juger de manière anodine.
« Death and the Maiden »
Le 25 avril, à 19h
Bibliothèque d’Alexandrie. Al-Chatbi.
Décrit dans une atmosphère mystérieuse, le spectacle « Death and the Maiden », mise en scène de Samaa Ibrahim, avec la troupe théâtrale « Skymime », est et une adaptation de la pièce « La Jeune Fille et la Mort », créée en 1990 par le dramaturge chilien Ariel Dorfman. Un pays, quelque part en Amérique du Sud, qui vient de vivre de nombreuses années sous une dictature militaire, passe douloureusement à un régime démocratique. Paulina et Gerardo vivent à l'écart du monde dans une maison retirée au bord de mer. Un soir, Gerardo rentre, accompagné de Roberto Miranda, dont il vient de faire la connaissance. Paulina croit reconnaître en cet homme son tortionnaire et pour dépasser les tortures subit, le prend en otage pour obtenir sa confession.
Cinéma
« Where Did Ramsis Go? »
Le 21 avril, à 20h
Université américaine du Caire. Place Tahrir.
Meilleur Film égyptien en 2020 de la société des critiques de cinéma égyptien, et meilleur long métrage documentaire en 2020 du Festival national du cinéma égyptien, le film « Where Did Ramsis Go? », du cinéaste et réalisateur Amr Bayoumi, porte sur le déplacement de la célèbre statue de Ramsès II, de la place Ramsis, au centre-ville cairote, en 2006. A un niveau plus profond, le film aborde des thèmes divers, tels que le patrimoine, la famille, les souvenirs, les histoires personnelles, la culture égyptienne et son peuple, sa mémoire, ses symboles patrimoniaux, ses personnalités politiques… Le film est projeté dans le cadre de l’ « AUC Tahrir 2024 CultureFest ».
« Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire »
Dans les salles du cinéma.
Le tout-puissant Kong et le redoutable Godzilla unissent leurs forces contre une terrible menace encore secrète qui risque de les anéantir et qui met en danger la survie même de l’espèce humaine. « Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire » remonte à l’origine des deux titans et aux mystères de Skull Island, tout en révélant le combat mythique qui a contribué à façonner ces deux créatures hors du commun et lié leur sort à celui de l’homme pour toujours…
«Suga / Agust D Tour »
Dans les salles du cinéma.
« Suga Agust D Tour » est le film de concert le plus rentable au monde en 2024. Il retrace les trois concerts de rappel que Suga, membre du groupe superstar de K-pop Bangtan Boys (BTS), a donnés à Séoul dans le cadre de sa tournée mondiale « D-day ».
« Dune »
Dans les salles du cinéma.
« Dune » est un film de science-fiction américano-canadien, coécrit et réalisé par Denis Villeneuse. C’est l’histoire de Paul Atreides, jeune homme aussi doué que brillant, voué à connaître un destin hors du commun qui le dépasse totalement. Car s'il veut préserver l'avenir de sa famille et de son peuple, il devra se rendre sur la planète désertique Arraki, également connue sous le nom de « Dune ». C’est la planète la plus dangereuse de l'univers. Elle est la seule à même de fournir la ressource la plus précieuse au monde, capable de décupler la puissance de l'humanité.
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