
Un atelier a été organisé pour discuter des défis qui affrontent les correspondants étrangers en Egypte.
Les défis affrontés par les correspondants étrangers en Egypte ont été examinés dans un atelier organisé le 12 juin par le Centre égyptien de la pensée et d'études stratégiques et l'Association Sadate pour le développement et la protection sociale, en coopération avec l'ambassade de Suisse. Parlementaires, universitaires et journalistes égyptiens et étrangers y ont participé.
Parmi les sujets discutés, l'atelier a examiné les moyens de soutenir le travail des correspondants et des représentants des médias étrangers en Egypte. Selon les participants à cet atelier, les médias sont confrontés à divers problèmes, tels que l’obtention des permis, le manque d’informations et les difficultés de communication avec les sources.
Présent à cet atelier, Diaa Rashwan, président de l’Organisme général de l’information, a affirmé que « l'organisme facilite le travail des journalistes étrangers pour obtenir les informations nécessaires des hauts responsables ». Il a affirmé entendre « régler tous les problèmes discutés dans cet atelier. Toutes les plaintes présentées par les journalistes lors de cette réunion seront prises en considération ».
Ont participé à cet atelier Khaled El-Balshy, président du syndicat des Journalistes, et Ezzat Ibrahim, rédacteur en chef du journal hebdomadaire Al-Ahram Weekly et du portail Ahram Online.
El-Balshy a souligné l'importance d'accorder une liberté totale aux journalistes pour exercer leur travail dans le pays. « Tous les journalistes locaux et étrangers ont des droits et des devoirs égaux », a-t-il indiqué.
Au cours de cet atelier, les participants ont également débattu de la loi sur la liberté d'accès à l'information, qui devrait être prochainement présentée au Parlement.
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