« L’Etat a mis en place des projets nationaux d’une valeur de plus de 7 trillions de L.E. Il est indispensable d’adopter des mesures claires pour résoudre les problèmes de l’économie égyptienne ».

Abdel-Fattah Al-Sissi, président de la République 

« Le fait que l’Etat se retire de certains secteurs économiques ne signifie pas nécessairement qu’il vendra les actifs. Son plan vise plutôt à établir un cadre qui réglemente les relations entre le gouvernement et le secteur privé ».

Moustapha Madbouli, premier ministre

« Chaque milliard de L.E. dépensé par le Fonds souverain d’Egypte attire des investissements d’une valeur de 5,4 milliards de L.E. et génère un rendement d’environ 15 milliards de L.E. sous forme d’investissements ».

Hala Al-Saïd, ministre de la Planification et du Développement économique

« L’Etat égyptien a ouvert la porte face à l’augmentation des investissements dans la recherche scientifique car il s’agit là de l’un des domaines importants du soutien à l’industrialisation ».

Rania Al-Machat, ministre de la Coopération internationale

« L’hydrogène vert figure désormais sur la liste des objectifs des Fonds souverains dans le monde. L’Egypte avance sur cette voie ».

Ayman Soliman, président exécutif du Fonds souverain égyptien

« Il est indispensable de comprendre les défis qu’affronte le secteur privé afin de pouvoir lui présenter le soutien qui lui permet d’évoluer ».

Heike Harmgart, représentante de la BERD

« Nous avons besoin de présenter des incitations aux investisseurs dans le domaine de l’enseignement et de déterminer les demandes du marché du travail en coordination avec les ministères de la Main-d’oeuvre et de l’Industrie ».

Réda Hégazi, ministre de l’Education

« Le secteur financier non bancaire a contribué à hauteur de 40 % dans les financements généraux l’année dernière ».

Mohamed Farid Saleh, président de l’Organisme général du contrôle financier