Mardi, 10 septembre 2024
Il va sans dire que la Constitution de 2014 a posé les principes et les constantes de la politique étrangère égyptienne avec ses dimensions régionales et internationales qui rendent le rôle égyptien non seulement influent et efficace, mais aussi nécessaire et important.

Le 28 août, l’armée israélienne a lancé contre la Cisjordanie occupée sa plus grande offensive depuis son invasion des principales villes de ce territoire lors de l’Intifada (soulèvement) palestinienne de 2002.

Que se passe-t-il en Israël ? Nous répétons sans cesse qu’un nombre croissant d’Israéliens émigrent vers l’étranger en raison de la guerre actuelle à Gaza, qui a un effet dévastateur sur la société israélienne non seulement militairement, mais aussi économiquement et socialement.

Depuis le 7 octobre, je n’ai écrit que sur la lutte épique du peuple palestinien à Gaza, à l’exception d’une seule fois, lors du décès de mon ami de longue date, Dr Osman Mohammed Osman.

Les interactions entre la Russie et l’Ukraine, considérées comme une guerre d’usure, entraînent des mutations géopolitiques dans la région du Sahel africain.

N’y a-t-il donc pas de fin aux tracas que nous causent les publicitaires pour commercialiser leurs biens stagnants ?

Quel impact aura la guerre de Gaza sur la présidentielle américaine, prévue le 5 novembre ?

Selon de nombreuses analyses, l’opération commise par les factions palestiniennes contre Israël le 7 octobre dernier a révélé l’érosion des deux théories de la sécurité et de la répression israéliennes. Il est clair que l’un des objectifs essentiels de l’agression israélienne contre Gaza est de tenter d’y remédier.

La guerre de Gaza, la poursuite de l’agression israélienne et le soutien américain à Israël représentent des dossiers importants dans la prochaine élection présidentielle américaines et dans la concurrence entre Donald Trump et Kamala Harris.

Je ne veux pas être trop optimiste en disant que la politique de la candidate à la présidentielle américaine Kamala Harris au Proche-Orient sera différente de celle du président actuel Joe Biden. Celui-ci a émis des réserves sur la gestion israélienne de la guerre à Gaza, mais il n’a pas arrêté de soutenir Israël au maximum.

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