Dimanche, 08 décembre 2024
L’iran sera le premier ordre du jour de Donald Trump au Moyen-Orient après son investiture le mois prochain.

Les romans historiques deviennent souvent un registre éternel de l’histoire des peuples.

La victoire de Donald Trump à la présidentielle américaine a suscité de profondes discussions autour des futures politiques américaines au Proche-Orient, en particulier concernant la cause palestinienne.

Dans sa première déclaration après sa nomination par Donald Trump en tant que prochain secrétaire d’Etat, le sénateur Marco Rubio a repris les mêmes discours que ceux des extrémistes du gouvernement israélien d’extrême droite.

L’Office de secours et de travaux des Nations-Unies pour les réfugiés de Palestine (UNRWA) a été, et continue d’être, une bouée de sauvetage pour des millions de réfugiés palestiniens depuis sa création le 8 décembre 1949.

C’est une première. Le dirigeant d’un Etat allié à l’Occident, le premier ministre d’Israël, Benyamin Netanyahu, s’est vu délivrer le 21 novembre un mandat d’arrêt par la Cour Pénale Internationale (CPI) pour des crimes de guerre et contre l’humanité commis contre la population palestinienne dans la bande de Gaza.

La mission de l’UNRWA ne se limite pas à la fourniture de biens de première nécessité comme la nourriture, le logement et les soins de santé. Elle répond également aux aspirations plus larges des réfugiés palestiniens, en leur fournissant une éducation, une formation professionnelle et des opportunités d’autonomisation économique.

Les répercussions des problématiques du Moyen-Orient et leur enchevêtrement avec les crises internes et externes dans la région illustrent les caractéristiques potentielles de la politique américaine sous Donald Trump. Ces éléments peuvent être analysés à travers trois axes principaux.

Une journaliste de la télévision canadienne m’a demandé : « Pourquoi les Arabes appréhendent-ils la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine, alors qu’il a annoncé qu’il mettrait fin à la guerre de Gaza avant même d’entrer à la Maison Blanche l’année prochaine ? ».

Le retour au pouvoir de Donald Trump aux Etats-Unis est bien accueilli par les Etats pétroliers du Golfe. Mais cet optimisme n’est pas dénué d’un certain degré d’incertitude, voire d’inquiétude.

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