Samedi, 15 février 2025

Dossier - Dossier

Un remake de la loi d'urgence?

Un grand débat est ouvert autour du projet de loi sur la sécurité que vient de lancer le gouvernement. Certains estiment qu’il en ressortira une copie de la loi d’urgence qui a tant fait souffrir les Egyptiens.


Waël Khalil: « Il n’y a aucune intention de réformer en profondeur l’organisme de la police »

Waël Khalil, membre du Conseil national des droits de l’homme, estime que l’absence de définition légale de la torture permet à la police d’outrepasser ses droits. Entretien.


L'erreur de trop

La mort sous les coups de la police du jeune Egyptien Khaled Saïd est devenue un symbole de la dureté répressive égyptienne, laquelle a contribué au déclenchement de la révolution du 25 janvier.


A quand la réforme ?

La torture, l'un des ingrédients de la révolution, est de retour. Les organisations des droits de l'homme continuent à recenser des abus dans les commissariats de police sous Morsi. La réforme de cette institution reste un simple voeu.

Appel à l'indépendance du pouvoir judiciaire

Les articles se rapportant au pouvoir judiciaire dans le premier brouillon de la Constitution sont au centre d'un vif débat. Ils laissent la porte ouverte à l'ingérence de l'exécutif.


Le Parlement retrouve ses pouvoirs

Le projet de la nouvelle Constitution maintient le système bicaméral. Les deux Chambres se dotent toutefois de pouvoirs plus élargis.


« Les pouvoirs du président sont diminués d’environ 50 % »

Alaa Qotb, conseiller au Conseil d’Etat et membre de l’assemblée constituante, estime que la première version de la nouvelle Constitution est satisfaisante.


Vers une interférence des pouvoirs

Le projet de la nouvelle Constitution accorde plus de prérogatives au premier ministre, mais définit mal les limites entre son pouvoir et celui du président de la République.


Vers un régime semi-présidentiel

L’assemblée constituante a rendu public un premier jet de ses travaux. Le texte, encore incomplet, réduit partiellement les larges prérogatives du chef de l’Etat.


Le succès des islamistes se poursuit malgré leurs différends internes

Des divisons internes secouent le plus important parti salafiste, tandis que les Frères musulmans cherchent à éviter des dissensions en poussant à la tête de leur organisation un candidat de consensus. Pourtant, ces problèmes semblent peu susceptibles d’affecter leur popularité lors des prochaines législatives.


AKP (Turquie) et FNI (Soudan) : Deux partis, deux extrêmes

L'AKP en Turquie et le FNI au sont deux exemples de partis islamistes au pouvoir. Si le premier réussit remarquablement, le second connaît un échec flagrant.


Nader Bakkar : « Notre rencontre avec Chafiq était d’utilité publique »

Alors que la commission des affaires des partis doit statuer sur son sort, le parti Al-Nour a surmonté sa crise interne. Mais pour combien de temps ? Rencontre avec Nader Bakkar, porte-parole du parti fraîchement réconcilié.


Katatni et Erian face à face

Parmi les 6 candidats ayant déposé leur dossier pour occuper le poste de président du Parti Liberté et Justice (PLJ), la rivalité reste entre les deux caciques de la confrérie : Saad Al-Katatni et Essam Al-Erian. Les deux jouissent d’une large popularité chez les Frères, mais le bureau de guidance fera son propre choix.


Khattab, un jeune contre les caciques

Walid Khattab, membre de la commission des médias au sein de ce parti, est le plus jeune des candidats.


« Je ne baisserai jamais les bras »

Sabah Al-Saqari est la seule candidate à la présidence du Parti Liberté et Justice (PLJ), bras politique de la confrérie des Frères musulmans. Sa candidature est perçue comme un « décor » pour donner une bonne image au parti.


En quête de renaissance

Durant sa campagne électorale, Mohamad Morsi affirmait que son programme économique, appelé Al-Nahda, prenait sa source dans son parti. Ce projet existe-t-il vraiment ?


Les promesses non tenues de Morsi

En 100 jours, le président comptait régler 64 problèmes. Le bilan est aujourd’hui très loin du compte, alors que les prétextes avancés par ses défenseurs peinent à convaincre.


Les cinq défis de Morsi restent inachevés

Sécurité, carburant, pain, propreté et circulation : Morsi avait promis de régler ces cinq dossiers épineux dans les 100 premiers jours de son mandat. L’Hebdo a interrogé des experts pour évaluer la mise en œuvre de ses engagements.


  146 147 148 149 150