Salah Hammouri, Prisonnier de Jérusalem est une oeuvre à paraître le 31 août aux éditions Libertalia.
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Dans La Demeure du vent, l’écrivaine syrienne Samar Yazbek explore, avec force et poésie, la puissance de la nature et la vanité des hommes.
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La fulgurance qui traverse Tumeur ou tutu, le premier roman de l’écrivaine Léna Ghar, fascine par sa sincérité brutale et la sauvagerie poétique avec laquelle elle scrute le monde.
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Les Bons ressentiments, Essai sur le malaise postcolonial est l’oeuvre d’Elgas, un jeune intellectuel sénégalais, auteur de roman, chroniques et essais puissants, qui vient de paraître aux éditions Riveneuve.
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Dans son ouvrage Nas wa Amaken (des gens et des lieux), l’écrivain Adel Esmat nous emmène dans les lieux de son enfance et de sa jeunesse. Ses histoires personnelles se mélangent à celles de la collectivité.
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L’ouvrage Intelligentsias algériennes/Le double exil du sociologue Karim Khaled vient de paraître aux éditions Koukou.
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Véritable immersion dans le quotidien d’une famille koweïtienne ultra-riche, le roman de Taleb Al-Refaï, Les Portes du paradis, paru chez Sindbad Actes Sud, questionne le désir, les dynamiques familiales douloureuses et les ressorts du djihadisme.
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Ex-enseignante de français, activiste dans le domaine social, la Marocaine Fatima Atoulid est aujourd’hui à sa troisième oeuvre littéraire. Al-Ahram Hebdo est allé à sa rencontre à l’occasion de son passage au Caire, sa ville de prédilection.
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Le premier roman de la journaliste Stépahnie Perez, Le gardien de Téhéran, est inspiré de la vraie histoire du gardien du musée de Téhéran, un homme seul face à la menace des religieux fanatiques qui a réussi à sauver 300 chefs-d’oeuvre d’art moderne, le trésor de l’Impératrice des arts.
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Albert Arie, mémoires d’un juif égyptien est un beau récit de vie, mais aussi un véritable témoignage historique. Arie (1930- 2021) était militant de gauche et exportateur de fruits et légumes qui a toujours vécu au centre-ville du Caire.
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Avec Brûleurs, Neïla Romeyssa signe un premier roman intense et figure parmi les dix finalistes sélectionnés au Prix Première 2023 et au Prix Mare Nostrum 2023, Grand Prix méditerranéen de littérature et spiritualité.
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Le Prix offert par le restaurant La Closerie des lilas 2023 est décerné ́ à Yasmine Ghata pour son roman Le Testament du prophète, publié chez Bouquins.
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Regardez-nous danser est le tout dernier roman de l’écrivaine d’origine marocaine Leïla Slimani, paru chez Folio. 1968 : à force de ténacité, Amine a fait de son domaine aride une entreprise florissante.
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Sarah Rivens est une auteure algéroise de 24 ans, également connue sous le pseudonyme de Theblurredgirl (la fille floue).
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La récente traduction arabe de l’ouvrage sorti en français en 2019 Amina Rachid ou la traversée vers l’autre permet aux lecteurs arabophones de découvrir une universitaire et une militante hors pair.
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Je me souviens de Falloujah, de Feurat Alani, aux éditions JC Lattès, vient d’être sélectionné finaliste du Goncourt du Premier Roman 2023.
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Le livre de l’artiste Nazli Madkour reprend son itinéraire de peintre égyptienne qui s’est épanouie en dehors des voies de l’académisme et qui a réussi à imposer sa voix autonome. Tour d’horizon.
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Dans son nouveau roman Anta Touchreq, Anta Toudie (tu brilles, tu resplendis), Rasha Adly combine, à sa façon, art et Histoire. Elle nous plonge dans les méandres de la découverte des Portraits du Fayoum.
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Ce que la Palestine apporte au monde est un ouvrage collectif publié dans le cadre de la collection « Araborama », créée par l’Institut du monde arabe et les éditions du Seuil, rassemblant journalistes, intellectuels, écrivains, artistes et illustrateurs pour explorer les réalités présentes du monde arabe.
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Une nouvelle traduction française de Barg Ellil, de l’écrivain tunisien Béchir Khraïef, par Samia Kassab-Charfi, vient de paraître aux Sud Editions.
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