Avec Houris, paru chez Gallimard, Kamel Daoud brise le tabou de la guerre civile algérienne.
|
Dans son ouvrage Ahlam Fatret Al-Ozla (rêves de la période de confinement), l’intellectuel et politologue Samir Morcos tente d’ouvrir des horizons nouveaux, livrant ses pensées sur les divers domaines de la vie.
|
Badjens est un nouveau roman publié par la journaliste et écrivaine française d’origine iranienne Delphine Minoui aux éditions Seuil.
|
En Tunisie, Marie Nimier a recueilli les confidences d’inconnus.
|
Our Stories Carried Us Here, volume 2, retrace dans une belle mosaïque de bandes dessinées signées Ashraf El-Attar l’histoire personnelle de son auteure, la Yéménite résidant aux Etats-Unis, Zaynab Abdi.
|
Illustrated Tales of the Egyptian Sixties est un ouvrage qui rassemble des oeuvres du plasticien et dessinateur de presse Gamal Kamel. Un retour en images à l’Egypte des années 1950 et 1960.
|
Dans son quatrième roman, Hawa-Adam (Eve et Adam, aux éditions Diwan, 2024), l’écrivaine Racha Zidane nous emmène en Andalousie. Son personnage principal n’est qu’Eve, la mère de tous les Hommes. Entretien.
|
Sindbad Actes Sud vient de publier une nouvelle édition du recueil de Mahmoud Darwich Ne t’excuse pas, réunissant 47 courts poèmes aux thèmes variés.
|
L’écrivain haïtien Louis-Philippe Dalembert a récemment reçu le prix Goncourt de la poésie pour l’ensemble de son oeuvre.
|
Al-Ahram Hebdo republie l’article sur le Catalogue Raisonné d’Abdelhadi El Gazzar à l’occasion des deux conférences prévues les 28 et 29 mai à Alexandrie et Zamalek respectivement.
Fruit d’une coopération culturelle et artistique entre la France et l’Egypte, le catalogue raisonné de Abdelhadi El Gazzar est publié aux éditions Norma en France et distribué par la fondation ARAC pour les arts et la culture en Egypte.
|
De passage au Caire, l’auteure et universitaire française Jacqueline Jondot a fait une présentation de son livre, Dalida en Egypte, au Collège de la Sainte Famille. Une occasion de nous replonger dans l’univers de cette chanteuse mythique, disparue en mai 1987, à l’âge de 54 ans.
|
Le journaliste et écrivain égyptien Mohamed Salmawy propose à travers son nouveau roman OEdipe fil Taëra (OEdipe à bord de l’avion) une réflexion sur le pouvoir, en faisant référence à la mythologie grecque.
|
Dans son nouveau livre Palestine, un peuple qui ne veut pas mourir, aux éditions Les liens qui libèrent, Alain Gresh analyse le choc du 7 octobre et ses retombées, notamment en France.
|
De la fin des années 1990 à la fin des années 2000, Stéphanie Dujols arpente la Cisjordanie, notamment en tant qu’interprète pour le Comité International de la Croix-Rouge (CICR), puis pour Médecins du monde, avant d’enseigner le français à l’Université de Naplouse.
|
Découvrez le récit poignant d’un Palestinien vivant au Liban, confronté à la réalité difficile des camps des réfugiés, dans Ce qui se passe est terrible, de Ziad Kaj.
|
Dans son roman Al-Hay Al-Sabie (le quartier no 7), l’écrivain Naïm Sabry relate l’histoire d’un groupe d’amis qui a quitté l’Egypte pour la Libye, après la débâcle de 1967. Cinq ans plus tard, ils retournent pour découvrir que rien n’est plus comme avant.
|
La 33e édition de la Foire internationale du livre d’Abu-Dhabi se déroulera du 29 avril au 5 mai au Centre national des expositions d’Abu-Dhabi.
|
De passage au Caire, le philosophe et romancier français Nathan Devers a tenu une conférence à l’Institut Français d’Egypte pour répondre à la question : doit-on s’exprimer sur les réseaux sociaux ?
|
L’écrivaine Rim Bassiouny poursuit ses messages soufis à travers une nouvelle trame inspirée de l’histoire alexandrine. Les deux principaux personnages de son dernier roman en date ne sont que le cheikh soufi Al-Morsi Aboul-Abbas et l’architecte italien qui a construit sa mosquée, Mario Rossi.
|
Dans son livre Maqam Al-Kalam fi Nakch Al-Maälouf min Alfaz wa Ahwal (le statut du langage en fouillant le lexique et le contexte communs) qui vient de sortir, Basma Abdel-Aziz rassemble ses articles publiés sur la langue dans Al-Shorouk. Revisités et élaborés, ils offrent un espace de méditation de la langue arabe et son usage.
|