En prison pour avoir participé à des manifestations à Alexandrie, l’écrivain Omar Hazeq sort néanmoins son nouveau roman La oheb hazihi al-madina (je n’aime pas cette ville). Il s’attarde sur un personnage fictif, Horus, l’un des auteurs des portraits du Fayoum au IIe siècle.
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Dans son nouveau recueil de poèmes en prose, Natakhallass memma noheb, Emad Ghazali creuse dans une écriture plus réaliste, consciente qu’il n’existe pas de paradis sur terre, et associe l’image de la vérité à celle d’« un enfant à plusieurs têtes ».
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Mohamad Hosny Aboul-Ezz est un jeune policier qui décide de quitter le ministère de l’Intérieur 10 mois après le déclenchement de la révolution du 25 janvier 2011, pour rejoindre le monde des écrivains. Nous publions un extrait de son récit autocritique, Taalimat Seyadtak, sur les défaillances d’un système basé sur l’obéissance aveugle aux ordres.
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Moustapha Ibrahim est connu des jeunes révolutionnaires de la place Tahrir pour son écriture rebelle, en égyptien dialectal. Voici quelques vers dédiés à la patrie, tirés de son recueil de poèmes Western Union.
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Dans son recueil de poèmes en prose, Montassaf al-hogorate (au milieu des chambres), Ahmad Yamani s’aventure sur une nouvelle écriture. Ses vers narratifs ne plongent pas dans la nostalgie, mais défendent le lien qui attache le corps au lieu.
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Dans son nouveau recueil de nouvelles, Zoom In, Hussein Abdel-Rahim remonte aux années 1970 dans le Port-Saïd de son enfance. Une écriture nostalgique qui rappelle les lieux, les sons et les odeurs sur un fond de musique populaire propre à cette ville connue pour ses affronts au pouvoir.
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Dans son roman Honal Qahera, Ibrahim Abdel-Méguid retrace le récit d’un jeune écrivain de 32 ans, à l’époque de Sadate, et rappelle les poursuites contre les intellectuels dans les prisons de la Sûreté d’Etat.
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Dans son dernier recueil de nouvelles, Chamat al-hosn (grains de beauté), Ibrahim Farghali plonge dans une écriture érotique, entre rêve et réalité. Il y interroge les limites du désir, du plaisir et de l’amour, dans un contexte de frustration qui remet en cause ces notions.
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L’Egyptienne Souheir Tewfik, qui réside à Paris, revisite le conte populaire. Sous un jour nouveau, l’auteur se fait ici la voie d’une jeune fille rurale. Qamar est extrait de son recueil de nouvelles Cet automne-là.
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Le roman de Wahid Al-Tawila, Bab al-leil, se déroule dans un café tunisien. A travers la vie nocturne de ses habitués rythmée par les filles de plaisir, l’on assiste à un microcosme en mouvement de la société arabe et de l’oppression du citoyen dans la Tunisie d’avant-le Jasmin.
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Abbas Al-Guerwany plonge, dans son recueil de nouvelles, dans un univers purement fictionnel. C’est pourquoi il emprunte le titre de son oeuvre au proverbe égyptien Al-Gamal yatlae al-nakhla (le chameau grimpe au palmier) qui reflète un discours mensonger, loin du réel. Extrait.
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Dans cet extrait aux allures de rêveries, Hoda Hussein, lauréate du prix Sawirès pour le roman, part sur les traces de l’enfance et de l’imagination sans limite. Ce chapitre de Wa Raäyt rouhi bagaa (mon âme est un cygne) est celui des souvenirs.
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Dans son premier recueil de nouvelles, Eaadet Chahn (recharge), Ziad Ibrahim recourt au langage technique de la toile, sans épargner une invention toute neuve et un goût du fantastique. Extrait.
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Ecrivain polyvalent, Edouard Al-Kharrat (88 ans) écrit ses poèmes en prose où il ne cesse de s’interroger sur l’existence et l’amour. L’Hebdo lui rend hommage, pendant sa maladie, avec ces quelques vers tirés de son recueil Limaza ? Maqatea men qasidat hob.
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Dans son dernier roman Le Retour du vieux, Mohamad Abdel-Nabi, lauréat du prix Sawirès pour les jeunes, revient sur une oeuvre patrimoniale connue Le Retour du vieux à sa jeunesse pour démontrer qu’un tel retour est impossible. Extrait.
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Yasser Abdel-Latif est lauréat du premier prix Sawirès. Voici une nouvelle tirée de son recueil Younès fi ahchaä al-houte (Younès dans le ventre de la baleine).
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Le nouveau recueil de nouvelles d’Ahmad Abdel-Moneim Ramadan, Face à Sean Connery, est un hymne au cinéma. Une écriture qui dépeint la profondeur des cadres, les voix, les détails anodins et où l’amour prend une place de choix. Extraits.
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Poète égyptien résidant au Canada, Walid El-Khachab évoque, dans son nouveau recueil de poèmes, le thème du manque. Allati (celle qui est) est cette muse au féminin qui englobe la bien-aimée, le cinéma, l’écriture et la poésie même.
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Les affrontements de la rue Mohamad Mahmoud ont nourri l’imagination du jeune écrivain Moustapha Soliman dans son premier roman prometteur Graffiti (édition Masr Al-Arabiya). Extrait qui fera l’objet du salon Le Premier Livre à l’Institut français du Caire.
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Dans son nouveau roman 313, Amr Al-Guindi dépeint un univers ambigu oscillant entre suspens policier et analyse psychanalytique. Dans le premier chapitre, le héros souffre de troubles de mémoire et finit par se laisser guider par un déséquilibré.
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