La révolution a boosté les productions littéraires de tous genres. Plusieurs conférences académiques s’y sont intéressées récemment, avec en point de mire le questionnement sur la littérature engagée.
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La montée en puissance des partis politiques à tendance islamiste fait craindre une détérioration du statut et des droits de femmes. Le point sur 3 pays du Printemps arabe : l’Egypte, la Tunisie et la Libye.
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Bannir les sites pornophiques de la toile égyptienne est loin d’être impossible si des moyens conséquents sont alloués à cette tâche. Une décision dangereuse aux dérives potentiellement infinies.
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Ibrahim Abdel-Méguid publie son nouvel ouvrage Al-Iskandariya fi ghayma (Alexandrie dans les nuages noirs). Troisième partie d’une trilogie, il met l’accent sur les transformations d’une ville perdant ses traits égyptiens.
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La Révolution aujourd’hui ... Mémoires de la place Tahrir raconte les souvenirs et les détails des dix-huit jours qui ont précédé la chute de Moubarak.
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Après de longs débats, l'article 2 qui considère la loi islamique comme la source de toute législation, a finalement été approuvé. Mais beaucoup de questions persistent encore.
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Alors que la journée du 15 octobre leur sera dédiée, Camélia Sobhy, directrice du Centre national de la traduction et responsable des relations culturelles étrangères au ministère de la Culture, plaide pour que la culture circule entre les pays.
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Traducteur de plus de 40 ouvrages, du russe et du français vers l’arabe, Bachir Al-Sébaï est un érudit, passionné notamment d’histoire et de poésie. Il s’est consacré, entre autres, aux œuvres de Trotski, Henry Laurens, Georges Hénein et des surréalistes égyptiens.
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Alexandre Najjar retrace la vie du guide libyen avec détails et objectivité. Au-delà de la figure du tyran sanguinaire, il dresse aussi le portrait d’un homme qui révolutionna son pays, lutta contre l’apartheid et sera tour à tour ennemi et allié des pays occidentaux.
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La place emblématique du Caire est-elle encore un symbole ? La décision de retoucher ce haut lieu de la révolution et d’en effacer les graffitis semble relever d’une gaffe politique.
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